Situé au nord de la Grande Muraille, ce site de 25 000 hectares regroupe les vestiges de la capitale légendaire du mongol Kubilai Khan. Cette ville conçue par son conseiller chinois Liu Bingzhdong en 1256 témoigne de façon unique d’une tentative d’assimilation entre la culture chinoise des Han et celle, nomade, des Mongols. C’est aussi le point de départ de…Lire la suiteSite de Xanadu
Pantopique : Mongolie
Un pantopique correspond à la réunion de quelques repères, plus ou moins nombreux, que vous pouvez commenter, compléter, étendre, selon vos propres champs d’expériences, de savoirs, d’enquêtes… - contact@21dialogues21.org
Partagé entre la Fédération de Russie et la Mongolie, ce site est un exemple exceptionnel de l’écorégion de la steppe daourienne, qui s’étend de l’est de la Mongolie jusqu’à la Sibérie russe et au nord-est de la Chine. Les changements cycliques de climat, avec des périodes sèches et humides marquées, favorisent une grande diversité d’espèces et d’écosystèmes d’importance mondiale. Les…Lire la suitePaysages de la Dauria
Paysage culturel de la vallée de l’Orkhon
Le paysage culturel de la vallée de l’Orkhon, d’environ 121 967 ha, couvre une vaste zone de pâturages sur les deux rives de l’Orkhon et comprend de nombreux vestiges archéologiques remontant au VIe siècle. Le site englobe également Karakorum, capitale aux XIIIe et XIVe siècles du vaste empire de Chingis (Gengis) Khan. Les vestiges du site reflètent les liens symbiotiques…Lire la suitePaysage culturel de la vallée de l’Orkhon
Situées sur les versants des monts Khangaï, en Mongolie centrale, ces pierres à cerfs sont liées à des pratiques cérémonielles et funéraires. Datant d’environ 1200 à 600 av. J.-C., elles mesurent jusqu’à quatre mètres de hauteur, sont placées directement dans le sol en tant que pierres isolées ou en groupes et sont presque toujours situées au sein d’ensembles comprenant de…Lire la suiteMonuments des pierres à cerfs et sites associés de l’âge du bronze
Les pratiques mongoles de vénération des sites sacrés se sont développées dans l’espace culturel qui constitue un berceau du style de vie nomade et se caractérise par une communion avec la nature et l’environnement. Selon le shamanisme ancien, ces pratiques sont fondées sur la croyance en l’existence de divinités invisibles du ciel, de la terre, des montagnes et de l’ensemble…Lire la suiteLes pratiques traditionnelles mongoles de vénération de sites sacrés
Le Tuuli mongol est une tradition orale composée d’épopées héroïques qui font entre plusieurs centaines et plusieurs milliers de vers et combinent bénédictions, panégyriques, formules magiques, expressions idiomatiques, contes de fées, mythes et chants traditionnels. Il est considéré comme une encyclopédie vivante des traditions mongoles orales et immortalise l’histoire héroïque du peuple mongol. Les chanteurs épiques se distinguent par une…Lire la suiteLe Tuuli mongol, épopée mongole
Les Mongols vénèrent certaines parties des os de leur bétail qu’ils utilisent pour leurs rites religieux, leurs loisirs et leurs jeux traditionnels. L’un de ces jeux populaires, qui se joue en équipe, est le tir aux osselets. Les équipes sont composées de six à huit joueurs qui envoient trente petites tablettes de marbre ressemblant à des dominos sur une surface…Lire la suiteLe tir aux osselets mongol
Ce rituel permet aux bergers mongols d’encourager les chamelles à accepter leur nouveau-né ou à adopter un chamelon orphelin. La mère est attachée près du petit et un chanteur entonne doucement sa mélopée monocorde, qu’il accompagne de gestes et de sons. L’amadoueur peut adapter la mélodie en fonction de la réaction de la chamelle, qui peut se faire agressive, puis…Lire la suiteLe rituel pour amadouer les chamelles
Le procédé traditionnel de préparation de l’aïrag dans un khokhuur et les coutumes associées englobent la méthode traditionnelle de préparation de l’aïrag – une boisson fermentée à base de lait de jument – et le matériel nécessaire à celle-ci, tel que le khokhuur (récipient en peau de vache), le buluur (spatule) et le khovoo (moule), ainsi que les coutumes sociales…Lire la suiteLe procédé traditionnel de préparation de l’aïrag dans un khokhuur et les coutumes associées
Le Naadam, festival traditionnel mongol
[écritures du naadam en mongol bitchig, cyrillique et latin]
Le Naadam est un festival national qui se déroule tous les ans du 11 au 13 juillet dans toute la Mongolie ; il s’articule autour de trois jeux traditionnels : la course de chevaux, la lutte et le tir à l’arc. Le Naadam mongol est intimement lié au mode de vie nomade des Mongols qui pratiquent depuis très longtemps le…Lire la suiteLe Naadam, festival traditionnel mongol
Le Biyelgee : danse populaire traditionnelle mongole est exécuté par les danseurs de différents groupes ethniques des provinces mongoles de Khovd et d’Uvs. Considérées comme l’ancêtre originel des danses nationales mongoles, les danses Biyelgee incarnent le mode de vie nomade dans lequel elles puisent leurs racines. Elles sont en principe exécutées dans l’espace restreint de l’intérieur du ger (la yourte,…Lire la suiteLe Biyelgee mongol, danse populaire traditionnelle mongole
Les communautés ethniques tibétaines, mongoles et tu établies dans l’ouest et le nord de la Chine ont en commun l’histoire d’un héros ancien, le roi Gesar, envoyé au paradis pour vaincre les monstres, déposer les puissants et aider les faibles, tout en unifiant des tribus très différentes. Les chanteurs et récitants qui préservent la tradition épique du Gesar racontent des…Lire la suiteLa tradition épique du Gesar
La flûte limbe est une flûte traversière en bois de feuillu ou en bambou traditionnellement utilisée pour les chants longs populaires mongols. Grâce à la technique de la respiration circulaire, les joueurs de flûte limbe peuvent produire les mélodies continues caractéristiques de ce chant long. Les musiciens inspirent par le nez et soufflent simultanément par la bouche l’air qu’ils ont…Lire la suiteLa technique d’interprétation du chant long des joueurs de flûte limbe – la respiration circulaire
Le violon à deux cordes appelé morin khuur occupe une place de choix dans la culture nomade mongole. Des sources écrites datant de l’empire mongol des treizième et quatorzième siècles font état d’instruments à cordes au manche orné d’une tête de cheval. L’importance de ce violon va bien au-delà de sa fonction d’instrument de musique, car il était traditionnellement partie…Lire la suiteLa musique traditionnelle du Morin Khuur
La musique pour flûte tsuur repose sur une technique à la fois instrumentale et vocale : un mélange de sons produits simultanément par l’instrument et par la gorge du musicien. La musique pour flûte tsuur est inséparable des populations mongoles Uriankhai de la région de l’Altaï et fait, aujourd’hui encore, partie intégrante de leur vie quotidienne. Elle plonge ses racines…Lire la suiteLa musique traditionnelle pour flûte tsuur
La fauconnerie, un patrimoine humain vivant
La fauconnerie correspond à l’art et la pratique traditionnelle d’entraînement et de vol de faucons (et parfois d’aigles, de buses et d’autres oiseaux de proie). Elle est pratiquée depuis plus de 4 000 ans. La fauconnerie durant les premières périodes de l’Histoire et l’époque médiévale est documentée dans de nombreuses parties du monde. Utilisée à l’origine comme méthode de chasse…Lire la suiteLa fauconnerie, un patrimoine humain vivant
La calligraphie mongole est une technique d’écriture consistant à relier verticalement des traits continus pour former des mots. L’alphabet de l’écriture classique mongole compte quatre-vingt-dix lettres, formées à partir de six traits principaux respectivement nommés « tête », « dent », « tige », « estomac », « arc » et « queue ». Cette écriture méticuleuse est utilisée pour…Lire la suiteLa calligraphie mongole
L’Urtiin duu ou « chant long » est l’une des deux formes majeures de chant mongol, l’autre étant le « chant court » (Bogino duu). Il tient une place particulière dans la société mongole et fait l’objet d’une véritable vénération en tant que forme rituelle d’expression associée aux célébrations et fêtes importantes. L’Urtiin duu est exécuté en diverses occasions :…Lire la suiteL’Urtiin Duu, chants longs traditionnels populaires
L’opéra tibétain, opéra traditionnel le plus populaire parmi les groupes ethniques minoritaires en Chine, est une synthèse artistique très élaborée où se mêlent chansons folkloriques, danses, récits, psalmodies, acrobaties et rites religieux. Très répandu sur le plateau Qinghai-Tibet, dans l’ouest de la Chine, le spectacle débute par une cérémonie de prières, avec la purification de la scène par les chasseurs…Lire la suiteL’opéra tibétain
L’artisanat du ger mongol est une entreprise traditionnelle nécessitant la participation d’une famille ou d’une communauté où des hommes s’occupent de sculpter le bois, tandis que des femmes et des hommes peignent, cousent et confectionnent le feutre. Le ger est une structure ronde composée de murs, de perches et d’un plafond rond recouverts de toile et de feutre et fixés…Lire la suiteL’artisanat traditionnel du ger mongol et les coutumes associées