Le système social de l’Empire inca est très organisé et hiérarchisé. Tout en haut de l’échelle, il y a l’empereur qui dirige son peuple avec une discipline de fer. Il est le Sepa Inca, qui signifie le Seul Inca et la succession au pouvoir se fait de père en fils. Ensuite, il y a la noblesse dont l’élite accède aux…Lire la suiteSystème social de l’Empire inca
Repère : société
La société. Troisième des 7 variables du pantopique. Qui nous raconte comment des groupes humains, à commencer par le nôtre, se sont constitués. Comment ils se sont sédimentés. La société, une architecture variablement complexe au sein de laquelle des groupes, des communautés, des peuples, des groupes ethniques, s’assemblent, interagissent, en privé ou en public. Un espace souvent hiérarchisé, encadré par des règles de fonctionnement. Des modes d’organisation se révélant au sein des activités les plus variées, qu’elles soient institutionnelles, marchandes, festives…
Société de Linguistique de Paris – Statuts de 1866 (Approuvés par décision ministérielle du 8 mars 1866) Article premier. – La Société de Linguistique a pour but l’étude des langues, celle des légendes, traditions, coutumes, documents, pouvant éclairer la science ethnographique. Tout autre objet d’études est rigoureusement interdit. Article 2. La Société n’admet aucune communication concernant, soit l’origine du langage…Lire la suiteSociété de Linguistique de Paris – Statuts de 1866
Pakeha est « dans l’usage courant, mais beaucoup ont du mal à définir sa signification. D’après les premiers documents, il est clair que le terme était utilisé en Nouvelle-Zélande avant 1815 pour signifier « personne blanche ». Au départ, un Pakeha était une personne venue d’Angleterre, qui s’installait ou travaillait en Nouvelle-Zélande. Avec le temps, Pakeha était la personne à la peau claire…Lire la suitePakeha
Le système indien des castes remonterait au verset Purusha Sukta du Rig Veda, affirmant que « les brahmanes venaient de sa tête, les kshatriyas venaient de ses mains, les vaishyas venaient de ses cuisses et les sudras venaient de ses pieds », bien que de nombreux spécialistes considèrent que ce verset a été inséré à une date ultérieure dans le texte védique.Lire la suiteOrigine du système de castes indien : origines …
C’est quoi la normalité ? Entrer dans une boîte construite par quelqu’un d’autre? Tout le monde se réjouit des artistes, des inventeurs et des magiciens: mais aucun d’entre eux n’entre dans la normalité. Et si le type d’en face n’entre pas dans la normalité il est jugé.Lire la suiteNormalité – Laurence Estève
Alain Pierre KOAGNE – 2013Lire la suiteNguon, fête culturelle des Bamouns
Ensemble de principes de conduite que l’écrivain dano-norvégien Aksel Sandemose a formulé en 1933 dans son roman Un fugitif recoupe ses traces et qui, selon lui, serait assez caractéristique du comportement de ses compatriotes, tout en étendant l’idée à l’ensemble de la Scandinavie. Elle met en avant la primauté du collectif sur l’individuel, la coopération sur la compétition. Peut susciter…Lire la suiteLoi de Jante
Il faut parfois des heures voire des jours pour rejoindre les villages indigènes. Vous emprunterez le « camino real », le chemin principal ou « Bungula », et ses multiples bifurcations pour vous enfoncer un peu plus dans cet univers à part. Les Kogis s’y déplacent pieds nus, à pas rapides, mastiquant les feuilles de coca qu’ils transportent dans leurs…Lire la suiteLes Kogis s’y déplacent pieds nus…
… Gandhi a compris le mal de l’intouchabilité et, pour l’éradiquer de la société indienne, il a créé une organisation appelée All India Harijan Sevak Sangh. Le travail de Harijan Sevak Sangh était double. Il s’agissait d’une part d’un travail constructif et d’autre part d’un travail de propagande. L’objectif du Sangh était d’éduquer les hindous de caste en faveur de…Lire la suiteLe mal de l’intouchabilité
Nelson Mandela et le Mahatma Gandhi ont choisi la voie de la cohésion sociale comme unique moyen de réaliser une transformation politique en douceur pour garantir un système politique stable. Ils étaient tous deux conscients que la stabilité politique intérieure est un préalable au progrès socio-économique et qu’elle permet aux pays de jouer un rôle utile et stabilisateur dans les…Lire la suiteLa voie de la cohésion sociale
Je m’isole pour créer. Je laisse même des personnes très chères de côté. Ce mode de vie solitaire n’est pas très facile à gérer. Mais très souvent, je suis si absorbé dans mes pensées que je m’aperçois même pas de ma solitude. En effet, le fait que je suis le seul responsable de ma création m’effraie beaucoup plus. C’est une…Lire la suiteLa solitude – Minoru Sasaki
Le fihavanana influe sur le processus de création d’entreprise (…) surtout le fihavanana familial et social. Mais le fihavanana social dans le contexte de la création d’entreprise diffère du fihavanana social traditionnel malgache. En effet le fihavanana social traditionnel se manifeste surtout dans les événéments heureux ou malheureux de la vie et les acteurs se sentent dans une obligation morale…Lire la suiteLa famille et le fihavanana social
La durabilité sociale demeure encore l’objet de peu d’investigations. Son analyse implique pourtant un renouvellement assez radical des modes de pensée du développement. Tout d’abord, elle conduit à la problématique d’un développement socialement durable qui ne réduit pas la dimension sociale au seul aspect de pauvreté, mais considère l’ensemble des interactions entre sphères économique, écologique et sociale et leurs effets…Lire la suiteLa durabilité sociale
Matthew O’Brien offre, lui aussi, un nouvel angle pour contempler Las Vegas : celui de ses catacombes. Il décrit ses périples dans les tunnels des égouts et les conduits sur lesquels repose la cité. Là, tout au long de ces kilomètres de béton, vivent des centaines d’hommes et de femmes, freaks, clochards, joueurs fauchés, la plupart toxicomanes. Certains fuient la…Lire la suiteLa face cachée de Las Vegas
Interview de Madame Verena Gräfin von Roedern – Consule Générale d’Allemagne à Bordeaux / 19 mai 2021Lire la suiteL’Oktoberfest
Il faut croire que l’homme a voulu vivre en société, puisque la société existe, mais aussi, depuis qu’elle existe, l’homme emploie une bonne part de son énergie et de son astuce à lutter contre elle.Lire la suiteL’homme a voulu vivre en société
Je voudrais qu’on choisît tellement les sociétés d’un jeune homme, qu’il pensât bien de ceux qui vivent avec lui ; et qu’on lui apprît à si bien connaître le monde, qu’il pensât mal de tout ce qui s’y fait. Qu’il sache que l’homme est naturellement bon, qu’il le sente, qu’il juge de son prochain par lui-même ; mais qu’il voie…Lire la suiteL’homme est naturellement bon
L’appréciation du caractère injuste ou non des inégalités est relative. Ce qui peut paraître injuste dans une société peut être considéré comme acceptable dans une autre. La définition des inégalités « injustes » constitue de ce fait l’un des enjeux de la politique. Pour certains, les inégalités sociales sont tout à fait acceptables et il n’est pas nécessaire de les corriger. Au…Lire la suiteL’appréciation des inégalités est relative…
Je suis personne ! Qui êtes-vous ? Etes-vous —personne —aussi ? Alors nous faisons la paire ! Silence ! on nous chasserait —vous savez ! Que c’est pénible —d’être— quelqu’un! Que c’est commun —comme une grenouilleDe dire son nom —tout au long de juin— Au marais qui admire! [I’m Nobody! Who are you? Are you —Nobody —too? Then there’s a…Lire la suiteJe suis personne ! Qui êtes-vous?
Dans certaines campagnes, au début de l’été, la fête d’Ivan Koupala, comparable à la Saint-Jean, donne lieu à la perpétuation de traditions antérieures à l’arrivée du christianisme. Ce rite païen pluri-millénaire célèbre à la fois saint Jean (Ivan), et Koupala, le dieu de la fertilité. La fête de Yanka Koupali et sa subsistance à travers les âges expriment l’attachement des…Lire la suiteIvan Koupala