Le kok-boru, jeu équestre traditionnel, est la synthèse de pratiques traditionnelles, de performances et du jeu proprement dit. C’est un jeu traditionnel dans lequel deux équipes de cavaliers tentent de déposer une carcasse de chèvre (remplacée par un moulage de nos jours) ou « ulak » dans le but de leurs adversaires. La communauté des détenteurs inclut des joueurs répartis…Lire la suiteLe kok-boru, jeu équestre traditionnel
Auteur/autrice : Eric Cattelain
Le patrimoine culturel du peuple kirghize est intrinsèquement lié au mode de vie nomade. Néanmoins, pendant l’ère soviétique, qui a entraîné une sédentarisation forcée, de nombreux éléments ont été mis en péril, notamment les jeux traditionnels. Après avoir acquis l’indépendance en 1991, les communautés locales kirghizes ont pu commencer à travailler à la revitalisation et à la célébration de leur…Lire la suiteLes jeux nomades, redécouverte du patrimoine, célébration de la diversité
L’artisanat de l’ak-kalpak est une forme artisanale kirghize traditionnelle. L’ak-kalpak est un couvre-chef masculin traditionnel en feutre blanc, associé à de profondes significations d’ordre sacré. L’artisanat de l’ak-kalpak est une somme de connaissances et de savoir-faire en constante évolution dans les domaines du feutrage, de la découpe, de la couture et de la broderie des motifs, transmis dans les communautés…Lire la suiteL’artisanat de l’ak-kalpak, connaissances et savoir-faire traditionnels liés à la fabrication et au port du chapeau masculin kirghiz
L’Elechek est un couvre-chef traditionnel féminin composé d’un bonnet de cheveux et d’un très long morceau de tissu blanc enroulé autour de la tête à la manière d’un turban et orné de broderies, de rubans et de bijoux. Cette pratique fait partie intégrante de la cérémonie traditionnelle de mariage au Kirghizstan. Rite de passage, le rituel de l’enroulement du premier…Lire la suiteL’elechek, la coiffe des femmes kirghizes : rituels et connaissances traditionnels
La narration d’épopée est une forme d’expression culturelle majeure des nomades kirghizs. L’art des Akyn, conteurs épiques, mêle le chant, l’improvisation et la composition musicale. Racontées lors des fêtes religieuses et privées, des cérémonies à caractère saisonnier ou des fêtes nationales, les épopées ont survécu au fil des siècles grâce à la transmission orale. La valeur des épopées kirghizes tient…Lire la suiteL’art des Akyn, conteurs épiques Kirghiz
L’art du tapis traditionnel en feutre est l’un des arts premiers du peuple kirghiz et fait partie intégrante de son patrimoine culturel. Les Kirghiz produisent traditionnellement deux types de tapis en feutre : les ala-kiyiz et les chirdaks. Les connaissances, les techniques, la diversité, la sémantique des ornements et les cérémonies de création de tapis sont autant d’éléments culturels importants…Lire la suiteL’ala-kiyiz et le chirdak, l’art du tapis traditionnel kirghiz en feutre
L’Enkipaata, l’Eunoto et l’Olng’esherr sont trois rites de passage masculins interdépendants de la communauté masaï : l’Enkipaata est la préparation des garçons à l’initiation ; l’Eunoto est le rasage des moranes (jeunes guerriers) qui ouvre la voie à l’âge adulte ; et l’Olng’esherr est la cérémonie de consommation de viande marquant la fin du moranisme et le début de l’âge…Lire la suiteL’Enkipaata, l’Eunoto et l’Olng’esherr, trois rites de passage masculins de la communauté masaï
La vieille ville de Lamu, qui est le plus ancien et le mieux préservé des lieux de peuplement swahilis en Afrique de l’Est, conserve ses fonctions traditionnelles. Construite en roches coralliennes et de bois de palétuvier, la ville se caractérise par la simplicité de ses formes structurelles, enrichies d’éléments comme des cours intérieures, des vérandas et des portes de bois…Lire la suiteVieille ville de Lamu
Les Mijikenda se composent de neuf groupes ethniques bantouphones des forêts Kaya le long des côtes du Kenya. L’identité des Mijikenda s’exprime à travers des traditions orales et manifestations liées aux forêts sacrées, qui sont aussi une source de plantes médicinales utiles. Ces traditions et pratiques constituent leurs codes d’éthique et leurs systèmes de gouvernance, et comprennent prières, prestations de…Lire la suiteLes traditions et pratiques associées aux Kayas dans les forêts sacrées des Mijikenda
Le Fort, édifié par les Portugais en 1593-1596 selon les plans de Giovanni Battista Cairati pour protéger le port de Mombasa, est l’un des exemples les plus remarquables et les mieux préservés de fortification militaire portugaise du XVIe siècle et une référence dans l’histoire de ce type de construction. Le schéma et la structure du Fort reflètent l’idéal de la…Lire la suiteFort Jésus, Mombasa
Le plus salé des grands lacs d’Afrique, le Turkana, est un laboratoire exceptionnel pour l’étude des communautés végétales et animales. Les trois parcs nationaux servent d’étapes aux oiseaux d’eau migrateurs et constituent d’importantes zones de reproduction pour le crocodile du Nil, l’hippopotame et différents serpents venimeux. Les gisements fossilifères de Koobi Fora, où l’on trouve de nombreux restes de mammifères,…Lire la suiteParcs nationaux du Lac Turkana
Situé au nord-ouest de la ville de Migori, dans la région du lac Victoria, cet établissement fortifié en pierre sèche a probablement été construit au XVIe siècle de notre ère. L’Ohinga, (forme d’établissement ou d’enceinte), semble avoir servi à assurer la sécurité des communautés et du bétail, mais définissait aussi des unités et relations sociales associées à des systèmes fondés…Lire la suiteSite Archéologique de Thimlich Ohinga
Les rituels et pratiques associés au sanctuaire de Kit Mikayi concernent les Luo de l’ouest du Kenya. Selon la légende, le sanctuaire de Kit Mikayi serait la cause de la bonne fortune des Seme et autres groupes ethniques luos qui vivent autour de l’enclave du sanctuaire. Les membres de ces communautés se rendent au sanctuaire pour diverses raisons comme prier,…Lire la suiteLes rituels et pratiques associés au sanctuaire de Kit Mikayi
Parc national/Forêt naturelle du mont Kenya
Culminant à 5.199 m, le mont Kenya est le deuxième plus haut sommet d’Afrique. C’est un ancien volcan éteint qui, durant sa période d’activité (il y a 3,1-2,6 millions d’années), aurait atteint 6.500 m. Il reste une douzaine de glaciers sur la montagne, tous en retrait rapide, et l’on trouve quatre sommets secondaires situés à la tête de vallées glaciaires…Lire la suiteParc national/Forêt naturelle du mont Kenya
Au Kenya, les modes d’alimentation traditionnels étaient menacés par des facteurs historiques et par la pression des modes de vie modernes. Les aliments locaux étaient méprisés et associés à la pauvreté et au sous-développement. Conscient qu’un déclin de la diversité alimentaire et des savoirs en la matière aurait des ramifications graves en matière de santé, de sécurité nutritionnelle et alimentaire,…Lire la suiteLa réussite de la promotion des aliments traditionnels et de la sauvegarde des modes d’alimentation traditionnels au Kenya
La danse Isukuti est une danse de célébration traditionnelle pratiquée par les communautés Isukha et Idakho de l’ouest du Kenya. C’est une danse au rythme rapide, énergique et passionnée accompagnée par des tambours et des chants. Vecteur essentiel de transmission culturelle et de coexistence harmonieuse entre familles et communautés, elle accompagne la plupart des occasions et des étapes de la…Lire la suiteLa danse Isukuti des communautés Isukha et Idakho de l’ouest du Kenya
Le Réseau des lacs du Kenya dans la vallée du Grand Rift comprend trois lacs interconnectés et peu profonds (Lac Bogoria, lac Nakuru et Lac Elementaita) qui se trouvent dans la province de la Rift Valley au Kenya. Sa superficie est de 32 034 hectares. Le bien héberge 13 espèces d’oiseaux menacées au plan mondial et la diversité des espèces…Lire la suiteRéseau des lacs du Kenya dans la vallée du Grand Rift
Les forêts sacrées de kaya des Mijikenda consistent en 10 sites forestiers distincts qui s »étendent sur près de 200 km le long de la côte. Ils recèlent les vestiges de nombreux villages fortifiés, les kayas, du peuple Mijikenda. Les kayas, créés à partir du XVIème siècle ont été abandonnés dans les années 1940. Ils sont considérés aujourd »hui comme les demeures…Lire la suiteForêts sacrées de kayas des Mijikenda
Ce bien en série transnational comprend quatorze éléments constitutifs, distribués à travers les zones arides de la zone tempérée de l’Asie centrale, entre la mer Caspienne et les hautes montagnes turaniennes. La zone est sujette à des conditions climatiques extrêmes avec des hivers très froids et des étés chauds, et possède une flore et une faune exceptionnellement diverses qui se…Lire la suiteDéserts turaniens à hiver froid
Ce bien transnational se trouve dans le système de montagnes du Tien Shan, l’une des plus grandes chaînes de montagnes du monde. Le Tien Shan occidental varie en altitude de 700 à 4 503 m. Ce site comprend une grande diversité de paysages qui abritent une biodiversité́ exceptionnellement riche. Il est important au plan mondial comme centre d’origine d’un certain…Lire la suiteTien Shan occidental