La communauté des Zafimaniry est la dernière dépositaire d’une culture originale de travail du bois, autrefois très répandue dans toute l’île. Les Zafimaniry se sont établis au dix-huitième siècle dans une région boisée et reculée au sud-est de Madagascar, pour échapper à la déforestation qui ravageait à l’époque la majeure partie du pays. Aujourd’hui, quelque 25 000 Zafimaniry vivent dans…Lire la suiteLe savoir-faire du travail du bois des Zafimaniry
Source : ich.unesco.org
Le Hiragasy est un art du spectacle composé de chants, de danses et de discours. Originaire des hauts plateaux du centre de Madagascar, le spectacle se déroule dans les espaces publics. Il implique généralement deux troupes et dure environ une heure et trente minutes, respectant une structure standard, comprenant des tambours, des salutations, des contes, des danses et des chants…Lire la suiteLe Hiragasy, art du spectacle des Hautes terres Centrales de Madagascar
Tous les ans, le 6 mai, l’Hıdrellez, fête du printemps, est célébrée comme la Journée du printemps, ou le renouveau de la nature. « Hıdrellez » est un nom composé à partir de « Hıdır » et « İlyas », qui désignent, selon la croyance, les protecteurs de la terre et de l’eau, qui aident les individus, les familles et…Lire la suiteL’Hıdrellez, fête du printemps
Le chant d’hommes à deux voix dans le bas Polog est une forme musicale vocale traditionnelle, appelée « glasoechko », caractéristique de la région. Les chants sont exécutés en polyphonie, le bourdon évoluant en contrepoint par rapport à la voix mélodique dominante. Ils sont souvent accompagnés d’une flûte de berger et d’une cornemuse. Le glasoechko est interprété spontanément en petits…Lire la suiteLe glasoechko, chant d’hommes à deux voix dans le bas Polog
La kopatchkata est une danse communautaire dynamique et énergique qu’exécutent les résidents locaux du village de Dramtche, dans la région de Pianets. Elle est exécutée lors des mariages, des rassemblements publics et des fêtes religieuses par les meilleurs danseurs du village. Elle se danse en demi-cercle, accompagnée de tambours, d’un violon, et parfois d’une tambura ou d’une cornemuse. Les rôles…Lire la suiteLa kopatchkata, danse communautaire du village de Dramtche, Pianets
Chaque année, le mardi de la Pentecôte (fête religieuse chrétienne), a lieu dans le centre-ville moyenâgeux d’Echternach, la plus ancienne ville du Luxembourg, la procession dansante d’Echternach »(Iechternacher Sprangprëssioun) ». Documentée dès l’an 1100, la procession a pour fondement le culte de saint Willibrord, moine et fondateur de l’Abbaye d’Echternach, vénéré pour ses activités missionnaires, ses bienfaits et son don de…Lire la suiteLa procession dansante d’Echternach
La fête des Quarante saints martyrs à Chtip
La fête des Quarante saints martyrs se déroule chaque année le 22 mars et honore les martyrs du IVe siècle de la ville de Sébaste, tout en marquant le premier jour du printemps. Les participants se réunissent dans les rues et sur les places de Chtip, puis font l’ascension de la colline d’Isar, en faisant une halte en chemin à…Lire la suiteLa fête des Quarante saints martyrs à Chtip
La création et le symbolisme des croix
Soutenu par la Lettonie La création des croix est une tradition très répandue en Lituanie. Elle évoque non seulement la fabrication de croix et d’autels, mais également leur consécration et les rituels qui leur sont associés. Sculptées en bois de chêne, elles sont liées aux cérémonies catholiques et aux fêtes de la moisson. Dès leur consécration par un prêtre, elles…Lire la suiteLa création et le symbolisme des croix
Les Sutartinės (du mot »sutarti » – être en accord) représentent une forme de musique polyphonique chantée par les femmes dans le nord-est de la Lituanie. Les chants ont de simples mélodies, avec deux à cinq hauteurs de ton, qui comprennent deux parties distinctes : un texte principal significatif et un refrain qui peut contenir des paroles de circonstances. Il y…Lire la suiteLes Sutartinės, chants lituaniens à plusieurs voix
Les sodai en paille sont des objets décoratifs suspendus fabriqués à partir de tiges de céréales. Cette pratique implique la culture de céréales (généralement du seigle), le traitement de la paille et la création de structures géométriques de différentes tailles. Les structures sont ensuite ornées de détails symbolisant la fertilité et la prospérité. Considérés comme le symbole de l’univers, les…Lire la suiteLa fabrication des sodai en paille en Lituanie
Al-Zajal est une forme de poésie populaire libanaise déclamée ou chantée lors de célébrations sociales et familiales mais aussi au quotidien. Les interprètes, hommes ou femmes, s’expriment individuellement ou collectivement sur différents thèmes dont la vie, l’amour, la nostalgie, la mort, la politique ou les événements de la vie quotidienne. Lors des joutes poétiques, les troupes de poètes et de…Lire la suiteAl-Zajal, poésie déclamée ou chantée
Quintessence du petit-déjeuner libanais, l’Al-Man’ouché est un pain plat préparé dans les maisons et les boulangeries spécialisées, et apprécié par des personnes de toutes origines. La pâte est gravée avec les doigts et recouverte d’un mélange de thym, de sumac, de graines de sésame grillées, de sel et d’huile d’olive. Une fois cuite, on peut y ajouter une deuxième garniture,…Lire la suiteAl-man’ouché, une pratique culinaire emblématique au Liban
Les Suiti sont une petite communauté catholique implantée dans la partie occidentale protestante (luthérienne) de la Lettonie. L’espace culturel des Suiti présente différents traits distinctifs, notamment un chant avec bourdon exécuté par les femmes, des traditions liées au mariage, des costumes traditionnels extrêmement colorés, la langue suiti, la cuisine locale, les traditions religieuses, les célébrations du cycle annuel et un…Lire la suiteL’espace culturel des Suiti
La musique du khène du peuple lao est jouée sur un orgue à bouche qui ressemble à une flûte de Pan composée de tubes en bambou de longueur variable comportant chacun une anche métallique. Le joueur souffle dans l’instrument par l’intermédiaire d’une poche à air et le son produit est fonction de la taille du tuyau. La musique du khène…Lire la suiteLa musique du khène du peuple lao
Le naga est une créature mythique, semblable à un serpent, qui vit dans les rivières. Les Lao croient que les nagas sont leurs ancêtres et qu’ils veillent sur eux. En témoignage de leur respect, ils ajoutent des motifs naga sur une multitude d’objets divers, dont les textiles sont les plus courants. Les motifs naga sont tissés à la main à…Lire la suiteL’artisanat traditionnel du tissage du motif naga dans les communautés lao
L’organisation Al Sadu Society a mis au point le programme éducatif : Former les formateurs à l’art du tissage, en collaboration avec le Département des arts relevant du Ministère de l’éducation, afin de sensibiliser la nouvelle génération koweïtienne au tissage traditionnel Al Sadu. Un programme national a été mis au point, ainsi que des ateliers de formation permettant aux enseignants…Lire la suiteLe programme éducatif Al Sadu : former les formateurs à l’art du tissage
La trilogie épique kirghize de Manas, Semetey et Seitek décrit la façon dont les tribus dispersées ont été unifiées pour former une seule nation. La trilogie témoigne de la mémoire historique du peuple kirghize et doit sa survie à une communauté de conteurs épiques qui se compose d’hommes et de femmes de tous âges. Les narrateurs acceptent leur mission après…Lire la suiteManas, Semetey, Seitek : trilogie épique kirghize
Le kok-boru, jeu équestre traditionnel, est la synthèse de pratiques traditionnelles, de performances et du jeu proprement dit. C’est un jeu traditionnel dans lequel deux équipes de cavaliers tentent de déposer une carcasse de chèvre (remplacée par un moulage de nos jours) ou « ulak » dans le but de leurs adversaires. La communauté des détenteurs inclut des joueurs répartis…Lire la suiteLe kok-boru, jeu équestre traditionnel
Le patrimoine culturel du peuple kirghize est intrinsèquement lié au mode de vie nomade. Néanmoins, pendant l’ère soviétique, qui a entraîné une sédentarisation forcée, de nombreux éléments ont été mis en péril, notamment les jeux traditionnels. Après avoir acquis l’indépendance en 1991, les communautés locales kirghizes ont pu commencer à travailler à la revitalisation et à la célébration de leur…Lire la suiteLes jeux nomades, redécouverte du patrimoine, célébration de la diversité
L’artisanat de l’ak-kalpak est une forme artisanale kirghize traditionnelle. L’ak-kalpak est un couvre-chef masculin traditionnel en feutre blanc, associé à de profondes significations d’ordre sacré. L’artisanat de l’ak-kalpak est une somme de connaissances et de savoir-faire en constante évolution dans les domaines du feutrage, de la découpe, de la couture et de la broderie des motifs, transmis dans les communautés…Lire la suiteL’artisanat de l’ak-kalpak, connaissances et savoir-faire traditionnels liés à la fabrication et au port du chapeau masculin kirghiz