La ville de Kasongo m’a beaucoup marqué car j’y ai assisté à des cas de possession incroyables. C’est là que j’ai vu pour la première fois des tombes entourées de chaînes, pour contenir l’esprit. Tout simplement parce qu’il y a eu beaucoup de gens racontant voir quelqu’un de mort, assis sur sa tombe. Moi, je connaissais un garçon qui était…Lire la suiteChaussure – Libère Tumba
Repère : objet
Les objets. Un ensemble d’éléments qui nous accompagnent et nous environnent. Dans le fond de la poche ou d’un sac, sur une étagère, dans un placard. Posé contre le mur, relégué dans un grenier ou une cave. Prêt à certains usages, ou pas. Rappelant des emplois qui ne sont plus, ou ne sont pas, pas encore. Certains auxquels nous sommes attachés, d’autres dont nous avons oublié la présence. Se comptant de manière parcimonieuse ou au contraire déferlant en toute abondance. Les objets, ces repères du quotidien, d’un quotidien singulier, incomparable à tout autre…
Cette robe longue et ample portée par-dessus les vêtements, qui couvre tout le corps sauf les pieds et les mains, permet aux femmes musulmanes de se conformer à une prescription religieuse de dissimuler leur corps. « Il y a des gens qui vendent des abayas comme un vêtement parmi d’autres, et des gens qui en vendent parce qu’ils estiment que c’est…Lire la suiteAbaya : une ambiguïté source de débat
L’île de Taquile, située sur le lac Titicaca dans les hauts plateaux des Andes péruviennes, est connue pour son art textile qui fait partie de l’activité quotidienne des hommes et des femmes de tous âges et dont les produits sont portés par tous les membres de la communauté. Les habitants de Taquile ont vécu relativement isolés du reste du pays…Lire la suiteTaquile et son art textile
Plus de 2 100 jarres de pierre mégalithiques ont donné leur nom à la plaine des Jarres, située sur un plateau du Laos central. De forme tubulaire, elles étaient destinées à des pratiques funéraires au cours de l’Âge du fer. Ce bien en série de 15 éléments comprend des grandes jarres de pierre taillée, des disques de pierre, des sépultures…Lire la suiteSites de jarres mégalithiques de Xieng Khouang – plaine des Jarres
Routes de la soie : le réseau de routes du corridor de Chang’an-Tian-shan
[chin. 丝绸之路:长安—天山廊道的路网 Sīchóu zhī lù: Cháng'ān—tiānshān láng dào de lù wǎng]
Cette section des Routes de la soie s’étend sur 5 000 km, de Chang’an/Luoyang, capitale centrale de la Chine sous les dynasties Han et Tang, jusqu’à la région de Jetyssou, en Asie centrale. Ce corridor a pris forme entre le IIe siècle av. J.-C. et le Ier siècle apr. J.-C. ; il a été utilisé jusqu’au XVIe siècle, reliant de…Lire la suiteRoutes de la soie : le réseau de routes du corridor de Chang’an-Tian-shan
Les techniques textiles traditionnelles des Li : filage, teinture, tissage et broderie
[chin. 传统黎族纺织技术 Chuántǒng lízú fǎngzhī jìshù]
Les techniques textiles traditionnelles des Li : filage, teinture, tissage et broderie sont employées par les femmes du groupe ethnique des Li, dans la province chinoise du Hainan, pour produire des vêtements et d’autres objets usuels à partir du coton, du chanvre et d’autres fibres. Ces techniques, qui comprennent notamment l’ikat, la broderie double-face, et le tissage jacquard simple face,…Lire la suiteLes techniques textiles traditionnelles des Li : filage, teinture, tissage et broderie
Le Poncho Para’í de 60 Listas de Piribebuy est un vêtement artisanal paraguayen composé de trois parties : le corps, les franges et la fajita (bordure). Chaque partie est confectionnée selon des procédures artisanales différentes et réalisées par les tisserandes de manière collaborative. Pour créer le poncho, les praticiennes tissent trois types de fils de coton, correspondant aux trois parties…Lire la suiteLes techniques ancestrales et traditionnelles d’élaboration du « Poncho Para’i de 60 Listas » de la ville de Piribebuy, République du Paraguay
Les Dumbara-ratā kalāla, ou tapis Dumbara, sont des tapis traditionnels fabriqués à la main qui sont utilisés en tant que tentures murales, tapisseries ou housses de coussin. Les tapis sont fabriqués dans deux villages (Kalasirigama et Alokagama) par une communauté appelée kinnara. Du XVe au XIXe siècle, celle-ci fournissait des tapis ornementaux au palais royal dans le cadre du service…Lire la suiteLes savoir-faire traditionnels relatifs à la fabrication de Dumbara Ratā Kalāla
En Côte d’Ivoire, le savoir-faire traditionnel du tissage des pagnes se caractérise par des techniques de tissage et des matières premières spécifiques. Les pagnes tissés par les communautés gouro, baoulé, malinké, sénoufo, koulango, nafana et abron sont confectionnés à partir de fils de coton teintés de différentes couleurs. Ils sont tissés en bandes étroites sur un métier manuel conçu par…Lire la suiteLes savoir-faire traditionnels liés au tissage du pagne en Côte d’Ivoire
Les Iraniens sont réputés dans le monde entier pour leur maîtrise de l’art du tissage des tapis, les tisseurs du Fars, dans le sud-ouest de l’Iran, comptant parmi les plus renommés d’entre eux. La laine utilisée pour les fabriquer est tondue par les hommes de la communauté au printemps ou en automne. Les hommes construisent ensuite le métier à tisser,…Lire la suiteLes savoir-faire traditionnels du tissage des tapis du Fars
À Kashan, ville qui est depuis longtemps le centre du tapis de qualité, près d’un habitant sur trois est employé à la fabrication de tapis et parmi ceux-ci plus des deux tiers sont des femmes. Le processus de fabrication des tapis commence par un dessin, élaboré en puisant parmi un ensemble de styles établis, avec des motifs de fleurs, de…Lire la suiteLes savoir-faire traditionnels du tissage des tapis à Kashan
Le processus artisanal qui permet d’obtenir des fibres végétales pour le tissage des talcos, crinejas et pintas du chapeau pinta’o est un processus manuel réalisé à l’aide de cinq plantes et de boue. Les artisans tissent des tresses et créent des talcos aux différents motifs, ainsi que des pintas. Les participants plantent, travaillent la matière première, tissent ou créent les…Lire la suiteLes processus et techniques artisanaux des fibres végétales pour le tissage des talcos, crinejas et pintas du chapeau pinta’o
L’atlas et l’adras sont deux types de tissus traditionnels produits au Tadjikistan. Si l’atlas est fabriqué à partir de fils de soie, l’adras est tissé avec des fils de soie et de coton, les deux tissus sont fabriqués selon une technique similaire. nombreuses étapes, depuis la collecte des cocons et du coton jusqu’au filage, à l’emballage, à la teinture et…Lire la suiteLes connaissances et savoir-faire traditionnels liés à la fabrication des tissus atlas et adras
Le Yuki-tsumugi est une technique japonaise de tissage de la soie que l’on trouve principalement dans les villes de Yuki et Oyama, sur les bords de la rivière Kinu, au nord de Tokyo. La région jouit d’un climat doux et de terres fertiles, conditions idéales pour la culture du mûrier et la sériciculture. La technique du Yuki-tsumugi est employée pour…Lire la suiteLe Yuki-tsumugi, technique de production de soierie
Le tissage de la paille au Biélorussie met l’accent sur la valeur spirituelle et le symbolisme du matériau et des produits. Divers ustensiles (tels que des boîtes et des paniers), des chapeaux, des jouets et des accessoires sont fabriqués en paille. Certains produits ont une signification particulière, comme les couronnes de récolte ou les pawuks, des structures complexes en forme…Lire la suiteLe tressage de la paille au Biélorussie : art, artisanat et savoir-faire
Le chapeau de paille toquilla est tissé avec les fibres d’un palmier caractéristique de la côte équatorienne. Les agriculteurs du littoral cultivent les « toquillales’ » et récoltent les tiges avant de séparer la fibre de l’écorce verte qu’ils mettent à bouillir pour éliminer la chlorophylle et à sécher pour obtenir le blanchiment ultérieur au feu de bois avec du…Lire la suiteLe tissage traditionnel du chapeau de paille toquilla équatorien
Le tissage traditionnel Al Sadu est un textile tissé traditionnel fabriqué par les Bédouines : en arabe, le mot « Al Sadu » désigne le tissage effectué dans le sens horizontal. Il s’agit d’un tissage uni à effet chaîne réalisé sur un métier placé à même le sol. L’étoffe ainsi obtenue est un textile serré, solide et durable, et les…Lire la suiteLe tissage traditionnel Al Sadu
Le Mosi, ramie fine, est tissé par des femmes d’âge mûr dans la ville de Hansan, province du Chungcheong du Sud, en Corée du sud. La région bénéficie d’une terre fertile et de vents marins favorables au développement de la ramie. Le tissage de la toile de ramie comprend plusieurs étapes : il faut notamment récolter les plantes, les faire…Lire la suiteLe tissage du Mosi (ramie fine) dans la région de Hansan
La tradition artisanale du tissage à la main en Haute-Égypte (Sa’eed) est un processus complexe qui demande du temps, des efforts, de la patience et de la pratique. De la fabrication du métier à l’obtention du produit fini, en passant par l’enfilage et le tissage, de nombreuses étapes et techniques sont nécessaires. C’est un travail de précision à l’exécution complexe.…Lire la suiteLe tissage à la main en Haute-Égypte (Sa’eed)
Le tissage à la main de la piña des Aklanons
La piña est un textile fabriqué à partir de fibres de feuilles d’ananas et tissé à l’aide d’un métier à tisser manuel. Les agriculteurs récoltent les feuilles du pinya bisaya, une espèce spécifique d’ananas, puis en extraient les fibres à la main. Les fibres sont pesées à l’aide d’une unité de mesure locale et d’une méthode faisant appel à de…Lire la suiteLe tissage à la main de la piña des Aklanons