La Taskiwin est une danse martiale typique des montagnes du Haut-Atlas occidental au centre du Maroc. Elle tire son nom de la corne richement décorée que porte chaque danseur, le Tiskt. Elle consiste à faire vibrer les épaules au rythme des tambourins et des flûtes. Cette pratique encourage la cohésion sociale et l’harmonie et représente un important mode de socialisation…Lire la suiteLa Taskiwin, danse martiale du Haut-Atlas occidental
Repère : 04 - Savoir
Que savons-nous [23] ? Qu’ignorons-nous ? Quelles sont les bases de notre éducation [24] ? À quoi pensons-nous [25] ? Quelle place y occupent les sciences [26] ? les arts [27] ? les croyances & incroyances [28] ? Comment y considérons la signification [29] ? Quelle place occupent les nombres [30] ? Quelles questions [31] nous posons-nous ? Quelle est notre relation à la vérité [32] ?
Le terme gnaoua se rapporte à un ensemble de productions musicales, de performances, de pratiques confrériques et de rituels à vocation thérapeutique où le profane se mêle au sacré. Le gnaoua est avant tout une musique confrérique soufie généralement associée à des paroles à caractère religieux, qui invoque les ancêtres et les esprits. Pratiquée à l’origine par des groupes et…Lire la suiteGnaoua
Le Għana (prononcé « ana ») est utilisé pour décrire trois types apparentés de chants populaires maltais en rimes. De nos jours, la forme de Għana la plus populaire est celle dite de « l’esprit vif », un duel improvisé entre 2 ou 4 chanteurs, où l’importance tient aux rimes, à une argumentation convaincante et à la drôlerie de la…Lire la suiteLe L-Għana, une tradition du chant populaire maltais
Les îles de Malte et de Gozo abritent sept temples mégalithiques, chacun témoignant d’un développement distinct. À Gozo, les deux temples de Ggantija sont remarquables pour leur réalisations gigantesques de l’âge de bronze. Dans l’île de Malte, les temples de Hagar Qim, Mnajdra et Tarxien sont des chefs-d’œuvre architecturaux uniques étant donné les ressources très limitées dont disposaient leurs constructeurs.…Lire la suiteTemples mégalithiques de Malte
Dotée de la prestigieuse université coranique de Sankoré et d’autres medersa, Tombouctou était aux XVe et XVIe siècles une capitale intellectuelle et spirituelle et un centre de propagation de l’islam en Afrique. Ses trois grandes mosquées (Djingareyber, Sankoré et Sidi Yahia) témoignent de son âge d’or. Bien que restaurés au XVIe siècle, ces monuments sont aujourd’hui menacés par l’avancée du…Lire la suiteTombouctou
Le M’Bolon est un instrument de musique composé d’une grande caisse de résonance faite d’une calebasse recouverte de cuir de vache, surmontée d’un manche en bois arqué muni de cordes. Pour amplifier les vibrations sonores, le musicien porte souvent un dispositif en forme de cloche fait de plaques métalliques auxquelles sont fixés de petits lobes de forme ovale. Cet appareil,…Lire la suiteLes pratiques et expressions culturelles liées au « M’bolon », instrument de musique traditionnel à percussion
La sortie des masques et marionnettes est une fête rituelle pratiquée dans les communautés bambaras, bozos, markas et somonos de Markala, qui se caractérise par des danses avec des masques, des tam-tams et des chansons interprétées par des danseurs et des marionnettistes. Chacun des masques et marionnettes symbolise le lien sacré entre l’homme et la nature, à travers la représentation…Lire la suiteLa sortie des masques et marionnettes de Markala
La société secrète des Kôrêdugaw est un rite de sagesse qui occupe une place centrale dans l’identité culturelle des communautés bambara, malinké, senufo et samogo. Les initiés revêtent des haillons ornés de colliers de fèves rouges et d’un grand nombre d’objets divers. Ils suscitent l’hilarité par leur comportement glouton, leur humour caustique et leur esprit, mais ils font aussi preuve…Lire la suiteLa société secrète des Kôrêdugaw, rite de sagesse du Mali
L’art de fabriquer et de jouer la mbira/sanza, lamellophone traditionnel au Malawi et au Zimbabwe, joue un rôle clé dans les communautés concernées. La mbira/sanza de base est un instrument constitué d’une planche en bois sur laquelle sont fixées des lames métalliques. Elle est parfois montée sur une calebasse/caisse de résonance en bois. Les lames métalliques, fabriquées à partir de…Lire la suiteL’art de fabriquer et de jouer la mbira/sanza, lamellophone traditionnel au Malawi et au Zimbabwe
Le Gule Wamkulu était un culte secret comprenant une danse rituelle pratiqué chez les Chewa au Malawi, en Zambie et au Mozambique. Il était exécuté par les membres de la confrérie Nyau, une société secrète d’hommes initiés. Dans la société matrilinéaire traditionnelle des Chewa, où les hommes mariés jouaient un rôle relativement marginal, le Nyau leur offrait un moyen d’exercer…Lire la suiteLe Gule Wamkulu
Le Vimbuza est une danse de guérison très populaire chez les Tumbuka, un groupe ethnique vivant dans le nord du Malawi. Il s’agit d’une manifestation importante du Ng’oma, une tradition de guérison répandue dans toute l’Afrique bantoue. Le Ng’oma, qui signifie « tambours de l’affliction », revêt une importance historique considérable et, malgré plusieurs tentatives de suppression, reste un élément…Lire la suiteLe Vimbuza, danse de guérison
Le mwinoghe est une danse instrumentale interprétée dans trois communautés ethniques – sukwa, ndali et bandya – de la région nord du Malawi. Dans le dialecte chisukwa, le mot « mwinoghe » signifie littéralement « amusons-nous » : la danse est donc exécutée pour exprimer la joie et le bonheur. Inspiré d’une danse cérémonielle du district voisin de Karonga appelée…Lire la suiteLe mwinoghe, danse joyeuse
La danse tchopa est un art du spectacle pratiqué dans les communautés lomwe du sud-est du Malawi. Cette danse est généralement exécutée lors de fêtes après de bonnes récoltes et des expéditions de chasse réussies, ainsi qu’au cours d’offrandes aux esprits ancestraux après des catastrophes telles que des sécheresses et des épidémies. La tchopa suppose des connaissances et un savoir-faire…Lire la suiteLa tchopa, danse sacrificielle des Lomwe du sud du Malawi
Situé sur un groupe de collines boisées de granite, la réserve de Chongoni occupe 126,4 km2 sur le haut plateau central du Malawi. Sur 127 sites, elle abrite le plus dense des ensembles d’art rupestre de la région. L’ensemble de Chongoni reflète la tradition – relativement rare – de l’art rupestre des agriculteurs mais aussi les peintures des chasseurs-cueilleurs BaTwa…Lire la suiteArt rupestre de Chongoni
Cette forme ancienne de théâtre créée par les Malais de Malaisie combine art dramatique, musique vocale et instrumentale, gestuelle et costumes élaborés. Spécifiques aux villages du Kelantan dans le nord-ouest de la Malaisie, d’où il est originaire, le Mak Yong est essentiellement représenté comme un divertissement ou à des fins rituelles associées à des pratiques de guérison. Selon les experts,…Lire la suiteLe théâtre Mak Yong
Le Mek Mulung est un spectacle traditionnel malaisien qui mêle théâtre, chant, danse et musique. Créé à l’origine dans le village de Wang Tepus, il est exécuté par un groupe de quinze à vingt personnes, accompagnées d’un ensemble musical composé d’instruments traditionnels à percussion et à vent tels que des tambours, des plaques de bambou et un gong. Pratiqué suivant…Lire la suiteLe Mek Mulung
Le Dondang Sayang est un art traditionnel malais encore pratiqué à Melaka par quatre communautés : les Malais, les Baba Nyonya, les Chitty et la communauté portugaise. La pratique associe des éléments musicaux (violons, gongs et tambourins ou tambour), des chants et de mélodieux accords poétiques. Également connues sous le nom de « ballades amoureuses », les chansons sont utilisées…Lire la suiteLe Dondang Sayang
Le Hiragasy est un art du spectacle composé de chants, de danses et de discours. Originaire des hauts plateaux du centre de Madagascar, le spectacle se déroule dans les espaces publics. Il implique généralement deux troupes et dure environ une heure et trente minutes, respectant une structure standard, comprenant des tambours, des salutations, des contes, des danses et des chants…Lire la suiteLe Hiragasy, art du spectacle des Hautes terres Centrales de Madagascar
Le chant d’hommes à deux voix dans le bas Polog est une forme musicale vocale traditionnelle, appelée « glasoechko », caractéristique de la région. Les chants sont exécutés en polyphonie, le bourdon évoluant en contrepoint par rapport à la voix mélodique dominante. Ils sont souvent accompagnés d’une flûte de berger et d’une cornemuse. Le glasoechko est interprété spontanément en petits…Lire la suiteLe glasoechko, chant d’hommes à deux voix dans le bas Polog
La kopatchkata est une danse communautaire dynamique et énergique qu’exécutent les résidents locaux du village de Dramtche, dans la région de Pianets. Elle est exécutée lors des mariages, des rassemblements publics et des fêtes religieuses par les meilleurs danseurs du village. Elle se danse en demi-cercle, accompagnée de tambours, d’un violon, et parfois d’une tambura ou d’une cornemuse. Les rôles…Lire la suiteLa kopatchkata, danse communautaire du village de Dramtche, Pianets