Au Japon, le sceau remplace la signature. Encore un héritage culturel que nous traînons depuis l’époque des Tokugawa ou même de plus loin. Ce système de signature prévaut pour les occasions les plus triviales (réception d’un colis, demande d’un abonnement de train…) jusqu’à des transactions plus importantes comme le contrat de vente d’un immeuble, l’enregistrement d’un mariage ou d’un divorce, une déclaration de naissance ou de décés…
Auteur : Takashi Moriyama
Source : L'abécédaire du Japon