Le Tuuli mongol est une tradition orale composée d’épopées héroïques qui font entre plusieurs centaines et plusieurs milliers de vers et combinent bénédictions, panégyriques, formules magiques, expressions idiomatiques, contes de fées, mythes et chants traditionnels. Il est considéré comme une encyclopédie vivante des traditions mongoles orales et immortalise l’histoire héroïque du peuple mongol. Les chanteurs épiques se distinguent par une…Lire la suiteLe Tuuli mongol, épopée mongole
Situées sur les versants des monts Khangaï, en Mongolie centrale, ces pierres à cerfs sont liées à des pratiques cérémonielles et funéraires. Datant d’environ 1200 à 600 av. J.-C., elles mesurent jusqu’à quatre mètres de hauteur, sont placées directement dans le sol en tant que pierres isolées ou en groupes et sont presque toujours situées au sein d’ensembles comprenant de…Lire la suiteMonuments des pierres à cerfs et sites associés de l’âge du bronze
Le procédé traditionnel de préparation de l’aïrag dans un khokhuur et les coutumes associées englobent la méthode traditionnelle de préparation de l’aïrag – une boisson fermentée à base de lait de jument – et le matériel nécessaire à celle-ci, tel que le khokhuur (récipient en peau de vache), le buluur (spatule) et le khovoo (moule), ainsi que les coutumes sociales…Lire la suiteLe procédé traditionnel de préparation de l’aïrag dans un khokhuur et les coutumes associées
Le Biyelgee : danse populaire traditionnelle mongole est exécuté par les danseurs de différents groupes ethniques des provinces mongoles de Khovd et d’Uvs. Considérées comme l’ancêtre originel des danses nationales mongoles, les danses Biyelgee incarnent le mode de vie nomade dans lequel elles puisent leurs racines. Elles sont en principe exécutées dans l’espace restreint de l’intérieur du ger (la yourte,…Lire la suiteLe Biyelgee mongol, danse populaire traditionnelle mongole
La flûte limbe est une flûte traversière en bois de feuillu ou en bambou traditionnellement utilisée pour les chants longs populaires mongols. Grâce à la technique de la respiration circulaire, les joueurs de flûte limbe peuvent produire les mélodies continues caractéristiques de ce chant long. Les musiciens inspirent par le nez et soufflent simultanément par la bouche l’air qu’ils ont…Lire la suiteLa technique d’interprétation du chant long des joueurs de flûte limbe – la respiration circulaire
La musique pour flûte tsuur repose sur une technique à la fois instrumentale et vocale : un mélange de sons produits simultanément par l’instrument et par la gorge du musicien. La musique pour flûte tsuur est inséparable des populations mongoles Uriankhai de la région de l’Altaï et fait, aujourd’hui encore, partie intégrante de leur vie quotidienne. Elle plonge ses racines…Lire la suiteLa musique traditionnelle pour flûte tsuur
L’artisanat du ger mongol est une entreprise traditionnelle nécessitant la participation d’une famille ou d’une communauté où des hommes s’occupent de sculpter le bois, tandis que des femmes et des hommes peignent, cousent et confectionnent le feutre. Le ger est une structure ronde composée de murs, de perches et d’un plafond rond recouverts de toile et de feutre et fixés…Lire la suiteL’artisanat traditionnel du ger mongol et les coutumes associées
Le violon à deux cordes appelé morin khuur occupe une place de choix dans la culture nomade mongole. Des sources écrites datant de l’empire mongol des treizième et quatorzième siècles font état d’instruments à cordes au manche orné d’une tête de cheval. L’importance de ce violon va bien au-delà de sa fonction d’instrument de musique, car il était traditionnellement partie…Lire la suiteLa musique traditionnelle du Morin Khuur
Le Khöömei est une forme de chant originaire de l’Ouest de la Mongolie, dans les montagnes de l’Altaï. Le chanteur imite des sons de la nature, en émettant simultanément deux sons vocaux distincts : un bourdon continu sur lequel se superpose une mélodie d’harmoniques. Le Khöömei, qui signifie littéralement pharynx, passe pour s’être inspiré des oiseaux dont les esprits tiennent…Lire la suiteL’art traditionnel du Khöömei mongol
Situé dans le nord-est du pays, le site se trouve dans la partie centrale de la chaîne des monts Khentii. C’est là que les grandes steppes d’Asie centrale cèdent la place aux forêts de conifères de la taïga sibérienne. Le Burkhan Khaldun est associé au culte des montagnes, des rivières et des ovoos (cairns de pierre chamaniques), dont les cérémonies…Lire la suiteGrande montagne Burkhan Khaldun et son paysage sacré environnant
Le Naadam, festival traditionnel mongol
[écritures du naadam en mongol bitchig, cyrillique et latin]
Le Naadam est un festival national qui se déroule tous les ans du 11 au 13 juillet dans toute la Mongolie ; il s’articule autour de trois jeux traditionnels : la course de chevaux, la lutte et le tir à l’arc. Le Naadam mongol est intimement lié au mode de vie nomade des Mongols qui pratiquent depuis très longtemps le…Lire la suiteLe Naadam, festival traditionnel mongol
Ensembles de pétroglyphes de l’Altaï mongol
De nombreux pétroglyphes et des monuments funéraires découverts sur ces trois sites illustrent le développement de la culture en Mongolie sur une période de quelque 12 000 ans. Les images les plus anciennes reflètent une époque (11 000 – 6 000 av. J.-C.) où la zone était en partie boisée et où la vallée offrait un habitat aux chasseurs de…Lire la suiteEnsembles de pétroglyphes de l’Altaï mongol
Autrefois, les tapis muraux fabriqués par les tisserands de certaines communautés de Roumanie et de République de Moldova servaient non seulement d’objets de décoration et d’isolation mais faisaient aussi partie de la dot des jeunes filles. Différentes techniques étaient utilisées pour produire des pièces aux motifs impressionnants. Certains motifs indiquaient aussi l’origine du tisserand. Les tapis jouaient également d’autres rôles…Lire la suiteL’artisanat traditionnel du tapis mural en Roumanie et en République de Moldova
Chaque année, avant Noël, des groupes de jeunes hommes se rassemblent dans les villages de Roumanie et de la République de Moldavie pour se préparer au rituel du colindat. Le soir de Noël, ils se rendent de maison en maison, exécutant des chants festifs. Après avoir chanté, les membres du groupe se voient offrir des présents rituels et de l’argent…Lire la suiteLe colindat de groupe d’hommes, rituel de Noël
L’art de la blouse traditionnelle avec broderie sur les épaules (altiță) est un élément essentiel des costumes populaires portés par les hommes et les femmes en Roumanie et en République de Moldova. Il allie une coupe extrêmement simple et de riches ornements colorés qui sont brodés selon des techniques complexes. Les blouses sont blanches, en fibres naturelles (lin, coton, chanvre…Lire la suiteL’art de la blouse traditionnelle avec broderie sur l’épaule (altiţă), élément de l’identité culturelle en Roumanie et en République de Moldova
Nan Madol est une série de plus de 100 îlots artificiels formés de murs de basalt et de blocs de corail, située au large de la côte sud-est de Pohnpei. Ces îlots abritent les vestiges de palais, de temples, de sépultures et de domaines résidentiels en pierre, érigés entre 1200 et 1500 ans de notre ère. Ces vestiges représentent le…Lire la suiteNan Madol : centre cérémoniel de la Micronésie orientale
La navigation traditionnelle et la construction de pirogues des îles Carolines font référence aux traditions séculaires de construction navale et de navigation sur des longues distances. Fidèles aux traditions, les communautés de Micronésie, en particulier dans les îles périphériques de l’État de Yap, continuent de construire des pirogues à voile à partir de matériaux locaux pour voyager en mer et…Lire la suiteLa navigation traditionnelle et la construction de pirogues des îles Carolines
Depuis plus de 1 500 ans, les Olmèques, les Zapotèques et les Mixtèques ont successivement habité le site. Les terrasses, barrages, canaux, pyramides et tertres artificiels de Monte Albán ont été littéralement sculptés dans la montagne et sont les symboles d’une topographie sacrée. Tout près, le plan en damier de la ville d’Oaxaca est un bon exemple d’urbanisme de la…Lire la suiteCentre historique de Oaxaca et zone archéologique de Monte Alban
Cette ville sacrée était l’un des plus grands centres mayas de la péninsule du Yucatan. Tout au long de son histoire, qui s’étend sur presque mille ans, la ville fut embellie grâce à la contribution de différents peuples. Mayas et Toltèques ont laissé sur la pierre des monuments et des œuvres artistiques I’empreinte de leur vision du monde et de…Lire la suiteVille préhispanique de Chichen – Itza
Dans la langue des Indiens Mayas qui peuplaient autrefois la région, Sian Ka’an signifie « origine du ciel ». Située sur la côte est du Yucatán, cette réserve de la biosphère comprend des forêts tropicales, des mangroves et des marais, ainsi qu’une vaste étendue marine traversée par une barrière de récifs. Elle abrite une flore remarquablement riche et une faune…Lire la suiteSian Ka’an