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F-46 ans : personne qui n’est pas moi

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L’autre est « un moi qui n’est pas moi ».
L’autre est celui/celle par qui je prends conscience de nos différences comme de nos similarités.
L’autre est l’occasion d’ouvrir un échange, une relation
dont je ne peux savoir de manière définitive ni à l’avance la satisfaction ou l’insatisfaction qu’il/elle va me procurer.
Entre confiance, défiance et méfiance, l’autre est un mystère dans lequel je peux aimer me laisser porter
ou au contraire m’y refuser.
L’autre est un préalable à l’idée même de l’humanité
que je peux toutefois occulter en choisissant une représentation plus abstraite, moins incarnée.
L’éducation à l’autre figure au premier chef de l’humanisme et peut, dès la prime enfance, prendre les formes les plus variées qui soient.

[ indéfinition ]

Ce n’est pas seulement un mot utilisé dans notre quotidien c’est toute une réflexion sur l’impact que l’autre a sur nous, qui nous sommes sans l’autre, qu’est-ce que l’autre sana nous. Pour moi, on se crée grâce ou à cause de notre environnement, des gens qui nous entourent donc des autres que nous nous construisons et développons ce que nous sommes. Ils nous inculquent des valeurs, des principes, une vision des choses. On pourrait même aller jusqu’à dire que c’est un miroir ou du moins un reflet de nous-même. L’autre est indispensable à notre évolution. En quelques sorte mon indéfinition de l’autre est plutôt une perpétuel question et expérience, l’autre va toute notre vie nous influencer.

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[ indéfinition ]

L’autre par les autres :

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[ indéfinition ]

Pour moi, « l’autre » est une personne qui ne fait pas partie de « Moi » , une personne que je considère comme « indéterminée ». « L’autre » n’est pas moi, il est différent , mais le même que moi, puisqu’il appartient à la condition humaine. « L’autre » devient alors très semblable à moi mais reste pourtant très différent. « L’autre » représente tout ce qu’il y a, tout ce qui « est » autour de moi mais n’est pas moi et ne fait pas partie de moi. En d’autres termes, « l’autre » représente tout ce qui m’est extérieur. Cependant, bien qu’il soit extérieur à « moi » , « l’autre » m’aide à me construire, et explique donc le pourquoi je suis « moi » et non « l’autre ». En effet « je suis » parce que « les autres sont ». « L’ubuntu » ( « Je suis, parce que tu es » ) illustre parfaitement l’idée évoquée précédemment. Autrement dit, tout ce qui vit , tout ce qui existe, tout ce qui « est » sur terre est interdépendant. Si j’existe c’est parce que j’ai été créé.e, si j’ai été créé.e c’est parce que à moment donné j’ai été conçu.e, si j’existe c’est parce que tu existes. Il en va de même que si j’écris c’est pour être lu.e, si je lis c’est pour comprendre, entre autres te comprendre. Outre l’interdépendance humaine « l’ubuntu » s’étend à tout ce qui existe. Viennent dès lors se poser les questions d’écologie ,de préservation de la nature et des espèces, ou encore de sauvegarde de notre planète. Ainsi, cela pousse à la responsabilité des citoyens, et donc à la responsabilité de « l’autre ». Finalement, « l’autre » , dans tout ce qu’il entreprend , a une responsabilité bien défini. « L’autre » interagit donc sur « moi « et tout ce qui m’entoure.

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[ indéfinition ]

F-10 ans : c’est toi

[ indéfinition ]

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[ indéfinition ]

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[ indéfinition ]

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[ indéfinition ]

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[ indéfinition ]

H-46 ans : ce que je ne suis pas