Nous devons ajouter que la majorité des personnes qui se sont exprimés ont expliqué avoir eu connaissance des médicaments de la forêt par la famille ou les amis et que certains médicaments – peut-être les plus connus ou plus utilisés – sont présents dans le récit de plusieurs personnes. Avec les dires de Lúcia et les articles cités tel que le Journal « O Estado São Paulo » nous pouvons faire l’hypothèse qu’au Brésil l’utilisation des médicaments de la forêt est courante et fait partie d’une pratique partagée. Culturellement, mais ce qui évolue et devient plus intime, plus familier c’est l’utilisation de certains traitements et pas d’autres et nous pouvons l’attribuer à la transmission orale qui n’est pas forcément systématisée en savoir théorique mais liée aux pratiques quotidiennes.
Auteur : Ivy Daure
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