L’église Saint-Michel a été bâtie de 1010 à 1020 selon un plan symétrique à deux absides, caractéristique de l’art roman ottonien en Vieille Saxe. Son décor intérieur, notamment son plafond de bois et ses stucs peints, de même que les trésors de la cathédrale Sainte-Marie, célèbre pour ses portes et sa colonne de bronze de Bernward, sont autant de témoignages…Lire la suiteCathédrale Sainte-Marie et église Saint-Michel d’Hildesheim
Repère : croire
Croire. Croire en un dieu. Croire en un panthéon de divinités. Croire à travers un dogme. Croire dans un temple ou dans le désert. Croire au terme d’une vie de dévotion. Croire dans la fulgurance d’une révélation. Ne pas croire. Une série de repères qui peuvent nous offrir la plus entière des libertés et des ouvertures à l’autre, à l’autre dévotion, à l’autre révélation, à l’autre croyance… Mais qui peuvent aussi nous enfermer dans une vérité exclusive et sectaire, source de rejets et de conflits…
Fondée par Conrad II en 1030 et transformée à la fin du XIe siècle, la cathédrale de Spire, basilique à quatre tours et deux dômes, est l’un des monuments majeurs de l’art du Saint Empire romain. La cathédrale a été, pendant près de 300 ans, le lieu de sépulture des empereurs allemands.Lire la suiteCathédrale de Spire
Située dans la partie orientale du bassin de Thuringe, la cathédrale de Naumburg, dont la construction a commencé à partir de 1028, est un témoignage exceptionnel de l’art et de l’architecture du Moyen Âge. Sa structure romane flanquée de deux chœurs gothiques témoigne d’un style de transition entre la fin du style roman et le début du gothique. Le jubé…Lire la suiteCathédrale de Naumburg
Commencée en 1248, la construction de ce chef-d’œuvre de l’art gothique se fit par étapes et s’acheva en 1880. Au cours de ces sept siècles, ses bâtisseurs successifs furent animés de la même foi et d’un esprit de fidélité absolue aux plans d’origine. Outre son exceptionnelle valeur intrinsèque et les chefs-d’œuvre qu’elle recèle, la cathédrale de Cologne témoigne de la…Lire la suiteCathédrale de Cologne
Miraculeusement conservée dans l’écrin d’une vallée des Alpes, l’église de Wies (1745-1754), chef-d’œuvre de l’architecte Dominikus Zimmermann, est probablement l’expression la plus parfaite du rococo bavarois, exubérant, allègre et coloré.Lire la suiteÉglise de pèlerinage de Wies
L’ensemble formé par l’abbaye et son entrée monumentale, la célèbre « Torhalle », est un rare témoignage architectural de l’époque carolingienne, avec des sculptures et des peintures de cette période remarquablement bien conservées.Lire la suiteAbbaye et Altenmünster de Lorsch
Minaret et vestiges archéologiques de Djam
Haut de 65m, le minaret de Djam est une construction gracieuse et élancée datant du XIIe siècle. Recouvert d’une décoration complexe en briques et portant une inscription de tuiles bleues au sommet, il est remarquable par la qualité de son architecture et de ses motifs décoratifs, qui représentent l’apogée d’une tradition artistique propre à cette région. Son impact est renforcé…Lire la suiteMinaret et vestiges archéologiques de Djam
En 1845, John O’Sullivan, rédacteur en chef d’un journal, invente l’expression « Destinée Manifeste » pour décrire l’idéologie de l’expansionnisme continental. Bien que le terme soit nouveau, les idées qui le sous-tendent sont beaucoup plus anciennes, puisqu’elles remontent aux premiers contacts coloniaux entre les Européens et les Amérindiens. La Destinée Manifeste incluait la croyance en la supériorité inhérente des Américains…Lire la suiteLa Destinée Manifeste
Aramazd Արամազդ est une divinité majeure de la religion pré-chrétienne de l’Arménie antique. Dans la mythologie arménienne, Aramazd est le dieu suprême, associé au ciel, au soleil et à la fertilité. Il est considéré comme le créateur de l’univers et le père d’autres divinités. Les anciens Arméniens rendaient hommage à Aramazd à travers des rituels et des cérémonies, souvent en…Lire la suiteAramazd
Le roi d’Égypte s’adressa aux sages-femmes des Hébreux dont le nom de la première était Chifrah et celui de la seconde était Pouah. Il dit : « Lorsque vous accoucherez les femmes des Hébreux, vous regarderez sur le siège d’accouchement ; s’il s’agit d’un fils, vous le tuerez, et si c’est une fille, vous la laisserez vivre. » Mais les…Lire la suiteLorsque vous accoucherez les femmes des Hébreux…
Le commentateur Rashi explique que le nom de Shifrah reflète tout le cœur et la diligence que la sage-femme met dans l’exercice de son métier : «שִׁפְרָה. זוֹ יוֹכֶבֶד. עַל שֵׁם שֶׁמְּשַׁפֶּרֶת אֶת הַוָּלָד:» « ShiFraH : C’est Yocheved, car elle “embellissait” (mechapèreth), le nouveau-né [par les soins diligents qu’elle lui prodiguait], [elle “mettait toute son ardeur (dans les soins…Lire la suiteShifrah et POu‘aH protègent les nouveaux-nés…
Descente du dieu Vishnou sur Terre qui a eu lieu à 10 reprises afin d’équilibrer les forces cosmiques – Le terme en est venu à désigner une représentation virtuelle créée dans le but de tenir notre place, jouer un rôle substitutif dans un environnement numérique donné – Les choix graphiques, les attributs sélectionnés (proches ou non du réel), les actions…Lire la suiteavatar
Vous pouvez compléter, modifier, améliorer cette indéfinition ou en proposer une autre au regard de vos savoirs, langages, pratiques, histoire… qu’elle soit formulée sur un mode scientifique, culturel, poétique… contact@21dialogues21.org
Les usages liturgiques des cloches se sont multipliés dans la suite des temps, il en est qui sont spéciaux à certaines contrées. L’usage premier de la cloche, du moins en Occident, semble être la convocation des chrétiens pour la prière. C’est cette fonction qui a permis leur généralisation progressive entre le VIe et le IXe siècles ; les règles monastiques…Lire la suiteUsages liturgiques des cloches
1 Toute la terre avait une seule langue et les mêmes mots. 2 Comme ils étaient partis de l’Orient, ils trouvèrent une plaine au pays de Schinear, et ils y habitèrent. 3 Ils se dirent l’un à l’autre : Allons ! Faisons des briques, et cuisons-les au feu. Et la brique leur servit de pierre, et le bitume leur servit…Lire la suiteToute la terre avait une seule langue et les mêmes mots.
« Sire, je n’avais pas besoin de cette hypothèse ». D’après l’anecdote d’Arago, c’est la réponse rétorquée par Laplace à l’empereur Napoléon, furieux à la lecture de sa mécanique céleste, car il ne parle : « pas une seule fois de l’existence de Dieu ! ».Lire la suiteSire, je n’avais pas besoin de cette hypothèse
Yama (sanskrit : यम) – Dieu hindou de la mort et de la justice – Il dispense la loi et le châtiment des pécheurs dans sa demeure, Yamaloka. Dieu très ancien, on en trouve les premières apparitions dans le Rigveda. « En raison de sa responsabilité dans la prise de bonnes décisions sur la base des actes d’une personne, le dieu…Lire la suiteYama – Dieu hindou de la mort et de la justice
Dieu nordique, fils d’Odin et de Gríðr, appartenant aux Ases, associé à la vengeance et au silence – Joue un rôle majeur dans le Ragnarök.Lire la suiteVidar
Vahagn Vishapakagh ou Vahagn Վահագն – Le faucheur ou le tueur de dragons – Dieu du feu, du tonnerre et de la guerre dans l’Arménie ancienne.Lire la suiteVahagn
Symbole: La triple corne d’Odin (symbole représentant Odin).Lire la suiteTriple corne d’Odin (symbole)
Symbole: Torii (shintoïsme).Lire la suiteTorii (symbole)




