Le festival de la Fête-Dieu est un festival religieux au Panama qui célèbre le corps et le sang du Christ. Le festival associe la tradition Catholique aux pratiques et aux festivités populaires et est caractérisé par des représentations théâtrales, de la musique, des danses burlesques et des costumes et des masques bariolés. Un jour avant le festival, un spectacle théâtral…Lire la suiteLes danses et expressions associées à la Fête-Dieu
Repère : 04 - Savoir
Que savons-nous [23] ? Qu’ignorons-nous ? Quelles sont les bases de notre éducation [24] ? À quoi pensons-nous [25] ? Quelle place y occupent les sciences [26] ? les arts [27] ? les croyances & incroyances [28] ? Comment y considérons la signification [29] ? Quelle place occupent les nombres [30] ? Quelles questions [31] nous posons-nous ? Quelle est notre relation à la vérité [32] ?
L’utilisation d’une pierre calcaire locale a marqué la construction de la vieille ville d’Hébron/Al-Khalil au cours de la période mamelouke, entre 1250 et 1517. Le centre d’intérêt de la ville était le site de la mosquée Al-Ibrahim/le tombeau des Patriarches, dont les édifices se trouvent dans l’enceinte construite au ier siècle de notre ère pour protéger les tombes du patriarche…Lire la suiteVieille ville d’Hébron/Al-Khalil
La dabkeh, danse traditionnelle en Palestine
La dabkeh est une danse de groupe en Palestine qui s’accompagne d’instruments à vent traditionnels et de chants populaires. La dabkeh est interprétée par onze danseurs, indépendamment de leur genre et de leur âge, lors de festivals, de célébrations et d’événements tels que les mariages et les remises de diplômes. Les danseurs se tiennent en ligne droite ou en demi-cercle,…Lire la suiteLa dabkeh, danse traditionnelle en Palestine
Du très ancien tumulus néolithique de Saraikala aux remparts de Sirkap, datant du IIe siècle av. J.-C., et à la ville de Sirsukh, du Ier siècle apr. J.-C., Taxila illustre les étapes du développement urbain d’une ville de l’Indus soumise tour à tour aux influences de la Perse, du monde hellénique et de l’Asie centrale, et qui, du VIe siècle…Lire la suiteTaxila
L’ensemble du monastère bouddhique de Takht-i-Bahi (ou « trône de la source ») a été fondé au début du Ier siècle. Grâce à son emplacement sur la crête d’une haute colline, il a échappé aux invasions successives, ce qui explique son état de préservation exceptionnel. Les ruines voisines de Sahr-i-Bahlol témoignent de la présence d’une petite ville fortifiée datant de…Lire la suiteRuines bouddhiques de Takht-i-Bahi et vestiges de Sahr-i-Bahlol
Depuis plus de dix siècles, la tradition musicale du shashmaqom est cultivée dans les centres urbains de la région d’Asie centrale autrefois appelée Mâwarâ al-nahr qui correspond au Tadjikistan et à l’Ouzbékistan actuels. Le shashmaqom, littéralement « six maqams », est un mélange de musique vocale et instrumentale, de langages mélodiques et rythmiques et de poésie. Il est exécuté en…Lire la suiteLa musique Shashmaqom
Le Katta Ashula (littéralement : « grand chant ») est un genre de chant traditionnel et un élément constitutif de l’identité de plusieurs peuples de la vallée de Fergana, en Ouzbékistan, où vivent également Tadjiks, Ouïgours et Turcs, et de certaines régions du Kirghizistan, du Tadjikistan et du Kazakhstan. Genre original, le Katta Ashula allie les arts du spectacle, le…Lire la suiteLe Katta Ashula
Les mouvements du lazgi, danse de Khorezm, illustrent la créativité humaine en reflétant les sons et les manifestations de la nature environnante et les sentiments que sont l’amour et le bonheur. Le lazgi, danse de Khorezm, était au départ associé à la région de Khorezm, mais est aujourd’hui répandu dans tout l’Ouzbékistan. Des peintures de la danse peuvent être trouvées…Lire la suiteLe lazgi, danse de Khorezm
La poésie épique joue un rôle crucial dans l’héritage musical et poétique des peuples ouzbek et karakalpak d’Ouzbékistan. Appelés dostons, les poèmes traditionnels centenaires sont basés sur des mythes, des légendes, des contes populaires et des chants légendaires, et abordent des thèmes variés tels que le patriotisme, l’engagement, l’amour, l’amitié et la solidarité. L’art Bakhshi fait référence à l’interprétation de…Lire la suiteL’art du bakhshi
Le bigwala représente la musique et la danse d’une pratique culturelle du peuple basoga de l’Ouganda, exécutée lors de célébrations royales, notamment d’intronisations et de funérailles et, au cours des dernières décennies, à l’occasion d’événements communautaires. Le bigwala désigne un jeu de cinq trompes en calebasse jouées en hoquet pour produire une mélodie accompagnée d’une danse spécifique. Une performance typique…Lire la suiteLe bigwala, musique de trompes en calebasse et danse du royaume du Busoga en Ouganda
Koogere était une femme, chef des Busongora il y a environ 1 500 ans. La tradition orale décrit sa sagesse exceptionnelle ainsi que la prospérité du territoire sous son règne dans une série de récits qui fait partie de la mémoire vivante et collective des communautés Basongora, Banyabindi et Batooro à Kasese. Cette tradition orale forme une part essentielle et…Lire la suiteLa tradition orale Koogere des Basongora, Banyabidi et Batooro
La danse et la musique de lyre arquée ma’di est une pratique culturelle des populations madi en Ouganda. Transmis par les ancêtres, les chants et les danses traditionnels sont pratiqués à l’occasion des mariages, des réunions politiques, de la célébration des bonnes récoltes, pour l’éducation des enfants, la résolution de conflits ou un deuil pour des proches disparus. Plusieurs rituels…Lire la suiteLa danse et musique de lyre arquée ma’di
L’al-Bar’ah est une tradition musicale bédouine des chaînes montagneuses du Dhofar au sud d’Oman. Elle prend la forme d’une danse à caractère guerrier exécutée au son du tambour et de la poésie chantée dans le dialecte des tribus locales. L’al-Bar’ah est exécutée en demi-cercle par dix à trente hommes et femmes. Tout en chantant et en battant des mains, deux…Lire la suiteAl-Bar’ah, musique et danse des vallées du Dhofar d’Oman
Al ‘azi est un genre de poésie chantée, exécuté dans les régions du nord du sultanat d’Oman, qui représente l’une des principales expressions de l’identité culturelle et musicale omanaise. Il prend la forme d’un concours de poésie ponctué par des mouvements d’épée et des pas ainsi que par des échanges poétiques entre un poète chanteur et un chœur. Il peut…Lire la suiteAl ‘azi, élégie, marche processionnelle et poésie
En 1993, Tongariro est devenu le premier bien inscrit sur la Liste du patrimoine mondial au titre du critère culturel révisé concernant des paysages culturels. Les montagnes situées au centre du parc ont une signification culturelle et religieuse pour le peuple maori et symbolisent les liens spirituels entre cette communauté humaine et son environnement. Le parc contient des volcans en…Lire la suiteParc national de Tongariro
Dans la pratique de la danse et de la musique traditionnelles dans la vallée de Setesdal, jouer d’un instrument, danser et chanter (stev/stevjing), la danse et la musique sont étroitement liées et profondément ancrées dans le contexte social. Les mélodies portent le nom de la danse « gangar » et la plupart d’entre elles sont des airs de danse. Les…Lire la suiteLa pratique de la musique et de la danse traditionnelles au Setesdal, jouer de la musique, danser et chanter (stev/stevjing)
Les pétroglyphes du fjord d’Alta, proche du cercle arctique, conservent la trace d’un habitat qui dura à peu près de 4200 à 500 av. J.-C. Des milliers de peintures et gravures nous aident à comprendre l’environnement et l’activité humaine à l’époque préhistorique aux confins du Grand Nord.Lire la suiteArt rupestre d’Alta
C’est dans le cadre naturel du Sogn og Fjordane que s’élève un chef-d’œuvre de l’architecture de bois des pays scandinaves : l’église à piliers de bois (ou « stavkirke ») d’Urnes, construite aux XIIe et XIIIe siècles. On peut y distinguer à la fois des réminiscences de l’art celtique, des traditions vikings et des structures spatiales romanes.Lire la suite« Stavkirke » d’Urnes
La dense forêt sacrée d’Osun, à la périphérie de la ville d’Oshogbo, est l’une des dernières zones de la forêt primaire qui subsiste au sud du Nigéria. Elle est considérée comme la demeure d’Osun, une des divinités du panthéon yoruba. La forêt, sillonnée par la rivière Osun, abrite des sanctuaires, des sculptures et des œuvres d’art érigés en l’honneur d’Osun…Lire la suiteForêt sacrée d’Osun-Oshogbo
La représentation théâtrale kwagh-hir est une forme d’art composite qui englobe un spectacle à la fois visuellement captivant et édifiant d’un point de vue culturel. Le kwagh-hir puise ses origines dans la tradition des contes du peuple tiv, le « kwagh-alom », une pratique dans le cadre de laquelle des conteurs créatifs invitaient les familles à écouter des récits, généralement…Lire la suiteLe kwagh-hir, représentation théâtrale