[néologisme] Que dire de ces paroles masquées,
Ces paroles de façade, juste pour leurrer, pour endormir l’auditoire,
Ces paroles qui, au final n’enfantent que du vent, de l’immobilisme ?
Je dirais que ce verbiage prémédité, c’est du « Parolytisme ».
Méfions-nous de tous ces parolytiques qui freinent notre élan, pour tenter de servir leur propre dessein.
Le parolytique a atteint son but lorsqu’il prend le contrôle de notre esprit, de notre volonté ; dès lors, on se retrouve paralytique, sans même nous en rendre compte !
Auteur : Rémy Boussengui