Euskal Herria, autrement dit le « Pays Basque », est formé de sept provinces traditionnelles dites Zazpiak Bat nommés en 1643 par Pedro Agerre Axular dans l’avant-propos de son livre Gero, bi partetan partitua eta berezia, plus couramment nommé Gero, ce qui signifie « après » en basque. Parmi elles il faudra compter du côté français : Lapurdi (le Labourd)…Lire la suiteLe Pays où l’on parle basque…
Pantopique : Basques
Un pantopique correspond à la réunion de quelques repères, plus ou moins nombreux, que vous pouvez commenter, compléter, étendre, selon vos propres champs d’expériences, de savoirs, d’enquêtes… - contact@21dialogues21.org
Symbole: Lauburu (croix basque).Lire la suiteLauburu (symbole)
Il y a un endroit où il faut aller, quand vous êtes à Sare, et que vous passez la frontière pour aller de l’autre côté – c’est un tout petit village qui s’appelle Zugarramurdi. Ce n’est pas facile à prononcer mais c’est joli ! D’abord, on y mange bien et tous les ans, il y a la fête des grottes…Lire la suiteSorcière – Jean Suhas
… Il faut bien rappeler qu’il existe 4 provinces du Pays-Basque en Espagne : la Navarre, la Biscaye, l’Alava, le Guipuzcoa, et 3 en France : la Soule, la Basse-Navarre et le Labourd. Tout cela fait l’Euskadi où se comptent 90 000 bascophones en France et près d’un million en Espagne.Lire la suiteProvince – Jean Suhas
La polyphonie je trouve que c’est important, il y a peu de peuples qui soient polyphoniques par essence. Les Corses, les Basques, certains Canaques de Nouvelle Calédonie, les femmes bulgares … J’ai entendu des cœurs de femmes bulgares, qu’est-ce que c’est beau ! Il fut un temps où j’avais envie d’écrire quelque chose, de faire une étude sur la polyphonie…Lire la suitePolyphonie – Jean Suhas
Pilota c’est la pelote, et un joueur de pelote est un pelotari. Ca se joue à main nue, ce qui fabrique des mains dans un état … Il y a le chistera, le grand chistera et le petit chistera. Ca s’attrape avec le bout de l’engin. On fait revenir la pelote en arrière, et on lui donne de l’effet avec…Lire la suitePelote – Jean Suhas
Certains situent la txalaparta dans un contexte animiste, d’autres expliquent qu’il s’agit d’un phénomène de communication dans la montagne, d’autres chercheurs croient la trouver dans les textes de Strabon, avant notre ère. Grâce à des témoignages directs, nous pouvons remonter avec certitude jusqu’à 200 ans environ, et nous savons que cet instrument constitue une chaîne avec le passé, rattachée à…Lire la suiteLes sources de la txalaparta
Le son serait celui du galop de cheval ou des battements du cœur. «Txalaparta, c’est l’écho d’un silence, silence rendu explicite : la solitude de la vallée soudain percée par le galop du cheval (zaldi) solitaire…Lire la suiteLe bruit d’un cheval au galop
Pour qu’il y ait Euskadi, il faut qu’il y ait euskara : euskara c’est la langue. S’il n’y a pas euskara, il n’y a pas Euskadi, le pays. Contrairement à ce que l’on croit ou ce que l’on dit, la langue basque n’est pas tout à fait la même partout.Lire la suiteEuskara – Jean Suhas
Les Jentilak ou Mairiak, tout comme les Basajaunak, sont des géants du Pays Basque auxquels on attribue l’érection des dolmens et des cromlechs d’après la légende de Kixmi.Lire la suitejentilak
Vous pouvez compléter, modifier, améliorer cette indéfinition ou en proposer une autre au regard de vos savoirs, langages, pratiques, histoire… qu’elle soit formulée sur un mode scientifique, culturel, poétique… contact@21dialogues21.org