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immortalité-2

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(technologique) – Objectif d’étendre significativement [définitivement ?] la durée de vie humaine en manipulant les processus de vieillissement et en adoptant des technologies avancées. Cette forme d’immortalité intègre également la transcendance numérique, envisageant la migration de la conscience humaine vers des substrats artificiels afin d’assurer une persistance au-delà de la mort biologique. L’immortalité devient alors synonyme d’une étroite intégration avec la technologie, que ce soit à travers des prothèses bioniques, des implants cérébraux ou d’autres avancées. Cette approche repense également l’immortalité en associant cette notion à la création d’entités autonomes non biologiques, comme des intelligences artificielles évoluées, élargissant ainsi le champ des possibilités et soulevant des questions éthiques liées à l’autonomie, à l’évolution de la conscience et à la responsabilité dans ce nouveau paradigme technologique.

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Condition théorique ou spirituelle où une entité, qu’il s’agisse d’une personne, d’une divinité ou d’une entité biologique, perd la vulnérabilité à la mort. Elle implique la persistance éternelle de l’existence, transcendant les limites temporelles de la mortalité. Convoitée à travers les âges, l’immortalité a été envisagée sous différentes formes, incluant l’immortalité physique, où le corps ne subit pas les ravages du temps, et l’immortalité spirituelle, caractérisée par la survie de l’âme ou de la conscience après la mort. Les mythes, religions, philosophies et sciences ont tous contribué à façonner les perceptions de l’immortalité, souvent associée à la recherche de la sagesse, de la perfection ou de l’éternité. Toutefois, la quête de l’immortalité est souvent teintée de dilemmes éthiques, soulevant des questions sur la nature de la vie, de la mort et de l’évolution humaine. L’immortalité peut également être contemplée à travers des lentilles culturelles, médicales et technologiques [dont par exemple celles du transhumanisme], avec des implications profondes sur la nature même de l’existence humaine.