Le char traditionnel, ou carreta, est la forme d’artisanat la plus connue du Costa Rica. Il a été utilisé à partir du milieu du dix-neuvième siècle pour transporter le café de la vallée centrale du Costa Rica jusqu’à Puntarenas, sur la côte Pacifique, un long voyage de dix à quinze jours à travers les montagnes. Pour avancer dans la boue…Lire la suiteLes traditions pastorales et les chars à bœufs du Costa Rica
Le parc national de l’île Cocos, situé à 550 km au large de la côte pacifique du Costa Rica, est la seule île du Pacifique tropical oriental possédant une forêt tropicale humide. Son emplacement – au premier point de contact avec le contre-courant nord-équatorial – et la myriade d’interactions entre l’île et l’écosystème marin environnant font de ce parc un…Lire la suiteParc national de l’île Cocos
Jongmyo, dédié aux ancêtres de la dynastie Joseon (1392-1910), est le plus ancien et le plus authentique des sanctuaires royaux confucéens conservés aujourd’hui. Son aspect actuel date du XVIe siècle. Il abrite des tablettes portant les enseignements des membres de l’ancienne famille royale. Des cérémonies rituelles associant musique, chant et danse s’y déroulent encore, perpétuant une tradition remontant au XIVe…Lire la suiteSanctuaire de Jongmyo
Ce bien concerne quatre sites archéologiques situés dans le delta du Diquis, au sud du Costa Rica. Ils représentent différentes structures d’établissements de sociétés de chefferie (500-1500 apr. J.-C.) et contiennent des monticules artificiels, des zones pavées, des sites funéraires et, surtout, une collection exceptionnelle de sphères mégalithiques de grande dimension (de 0, 7 à 2,57 m de diamètre). Le…Lire la suiteÉtablissements de chefferies précolombiennes avec des sphères mégalithiques du Diquís
Le Cheoyongmu est une danse de cour exécutée aujourd’hui sur scène, mais autrefois utilisée pour chasser les mauvais esprits et assurer la tranquillité lors des banquets royaux ou lors des rites d’exorcisme pratiqués la veille du Nouvel an pour attirer la chance. Inspirée de la légende coréenne de Cheoyong, fils du roi dragon Yongwang qui avait pris une forme humaine…Lire la suiteLe Cheoyongmu
Les zones historiques de Gyeongju contiennent une remarquable concentration d’exemples exceptionnels de l’art bouddhiste coréen sous forme de sculptures, de reliefs, de pagodes et de vestiges de temples et de palais datant de la période qui a vu s’épanouir cette forme d’expression artistique unique, en particulier du VIIe au Xe siècle.Lire la suiteZones historiques de Gyeongju
Le temple d’Haeinsa, sur le mont Gaya, abrite le Tripitaka Koreana , collection la plus complète de textes du canon bouddhiste, gravés sur 80 000 tablettes de bois entre 1237 et 1248. Destinés à recevoir ces tablettes – documents vénérés autant qu’œuvre d’art exceptionnelle –, les bâtiments du Janggyeong Panjeon datent du XVe siècle et sont les plus anciens dépôts…Lire la suiteTemple d’Haeinsa Janggyeong Panjeon, les dépôts des tablettes du Tripitaka Koreana
Les Sansa sont des monastères bouddhistes de montagne disséminés dans les provinces méridionales de la péninsule coréenne. L’aménagement spatial des sept temples qui composent le bien, fondés du VIIe au IXe siècle, présente des traits communs qui sont spécifiques à la Corée – le madang (cour ouverte) entouré de quatre bâtiments (salle du Bouddha, pavillon, salle de lecture et dortoir).…Lire la suiteSansa, monastères bouddhistes de montagne en Corée
__Corée du nord__ Le ssirum (lutte) est une activité physique populaire, pratiquée dans toutes les régions de la République démocratique populaire de Corée, dans laquelle chacun des deux adversaires s’emploie à mettre l’autre à terre en utilisant un satpa (une sangle de tissu reliant la taille et la jambe), leur torse, leurs mains et leurs jambes. Le ssirum se distingue…Lire la suiteLa lutte coréenne traditionnelle (Ssirum/Ssireum)
Aménagée au VIIIe siècle sur les pentes du mont Toham, la grotte de Seokguram renferme une statue monumentale de Bouddha regardant la mer dans la position bhumisparsha mudra . Avec les représentations de divinités, de bodhisattva et de disciples qui l’entourent, sculptées en hauts reliefs et bas reliefs avec délicatesse et réalisme, c’est un chef-d’œuvre de l’art bouddhique d’Extrême-Orient. Le…Lire la suiteGrotte de Seokguram et temple Bulguksa
Seowon, académies néo-confucéennes coréennes
Le bien comprend neuf seowon représentant un type d’académie néo-confucéenne de la dynastie Joseon (XVe-XIXe siècles EC) se trouvant au centre et au sud du pays. L’enseignement, la vénération des érudits et l’interaction avec l’environnement étaient les fonctions essentielles des seowon, qui se reflètent dans leur conception. Situés près de montagnes et de sources d’eau, ils favorisaient l’appréciation de la…Lire la suiteSeowon, académies néo-confucéennes coréennes
Conçue comme une capitale refuge de la dynastie des Choson (1392-1910), Namhansanseong se trouve dans une zone montagneuse à 25 km au sud-est de Séoul. Construite et défendue par des moines-soldats bouddhistes, elle pouvait accueillir 4 000 personnes et jouait un important rôle administratif et militaire. Ses vestiges les plus anciens remontent au VIIe siècle mais elle a été reconstruite…Lire la suiteNamhansanseong
Élément central de la culture bouddhiste coréenne, le Yeongsanjae commémore la transmission du Sûtra du Lotus par Bouddha sur le pic du Vautour, en Inde, qui contient les messages philosophiques et spirituels du bouddhisme et développe l’autodiscipline chez ses adeptes. Le Yeongsanjae débute par l’accueil rituel de tous les saints et esprits qui peuplent la terre et les cieux et…Lire la suiteLe Yeongsanjae
Fondés au 14e-15e siècle, Hahoe et Yangdong sont considérés comme les deux villages claniques historiques les plus représentatifs de la République de Corée. Leur disposition et leur emplacement, abrités par des montagnes boisées et face à une rivière et à des champs agricoles ouverts, reflètent la culture confucéenne aristocratique propre au début de la dynastie Joseon (1392-1910). Les villages étaient…Lire la suiteVillages historiques de Corée : Hahoe et Yangdong
Les Tombes Royales de la Dynastie Joseon constituent une collection des 40 tombes réparties sur 18 sites différents. Elles ont été construites sur plus de cinq siècles, de 1408 à 1966. Elles visaient à honorer la mémoire des ancêtres, saluer leurs réussites, asseoir l’autorité royale, protéger les esprits ancestraux du mal et offrir une protection contre le vandalisme. Des endroits…Lire la suiteTombes royales de la dynastie Joseon
Ce bien en série est composé de sites de cimetières archéologiques comprenant des tertres funéraires attribués à la Confédération de Gaya, qui se déploya dans la partie méridionale de la péninsule coréenne du Ier au VIe siècle de notre ère. Par leur répartition géographique et leurs caractéristiques paysagères, leurs types de sépultures et leur mobilier funéraire, les cimetières témoignent du…Lire la suiteTumuli de Gaya
Le pansori est une forme d’art dramatique musical exécutée par un chanteur accompagné d’un tambour. Cette tradition populaire, qui se distingue par son chant expressif, son discours stylisé, son répertoire de récits et sa gestuelle, embrasse à la fois la culture des élites et celle du peuple. Accompagné d’un seul tambour, le chanteur (homme ou femme) improvise, parfois huit heures…Lire la suiteLes chants épiques Pansori
Les cimetières préhistoriques de Gochang, Hwasun et Ganghwa abritent des centaines de dolmens – sépultures faites d’énormes dalles de pierre datant du Ier millénaire av. J.-C. Ils appartiennent à la culture mégalithique que l’on retrouve en de nombreux autres endroits du globe, mais jamais en si forte concentration.Lire la suiteSites de dolmens de Gochang, Hwasun et Ganghwa
Le Taekkyeon est un art martial traditionnel coréen basé sur des mouvements rythmiques fluides, proches de la danse, qui permettent de frapper ou de faire tomber l’adversaire. Les mouvements gracieux d’un praticien chevronné du Taekkyeon sont doux et circulaires, plutôt que droits et raides, mais peuvent faire preuve d’une grande souplesse et d’une force considérable. Les pieds jouent un rôle…Lire la suiteLe Taekkyeon, un art martial traditionnel coréen
Le talchum est un art du spectacle mêlant danse, musique et théâtre. Entre six et dix musiciens accompagnent des danseurs masqués qui explorent avec humour des problématiques sociales lors de spectacles alliant chansons, danses, gestes et répliques. La pratique utilise des caricatures de personnages du quotidien pour transmettre un appel à l’égalité universelle et à la critique de la hiérarchie…Lire la suiteLe talchum, danse théâtrale masquée en Corée du sud