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banal.e-2

repère(s) :

XIIIe siècle, bannel. Dérivé de ban, « territoire soumis à la juridiction d’un suzerain », d’où « qui appartient à la circonscription seigneuriale » (appliqué à un four ou à un moulin), et enfin, « qui est à la disposition de tous ».

Source :

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Qualifie quelque chose de commun, ordinaire ou dépourvu de caractère exceptionnel. Souligne un manque de distinction ou d’originalité. Cela peut s’appliquer à des objets, des événements, des idées ou des situations qui sont perçus comme communs ou prévisibles. La banalité peut également refléter l’absence de singularité ou d’importance particulière.