Le dernier mardi soir de l’année solaire (au mois de mars) est célébré par les Iraniens par une fête appelée Tchâhâr Shanbeh Souri, que l’on pourrait traduire par « mercredi enflammé ». Toutes les familles et tous les voisins sortent dans la rue, allument des feux et sautent par-dessus. C’est l’occasion d’un grand rassemblement populaire chez les Iraniens pour fêter…Lire la suiteTchâhâr Shanbeh Souri
Source : teheran.ir
D’après le récit du Shâhnâmeh de Ferdowsi, grand poète iranien du Xe siècle, promoteur de la langue et de la culture persane, Nowrouzcorrespond au jour du couronnement du mythique roi perse Djamshid : « Il fit un trône digne d’un roi, et y incrusta toute sorte de pierreries ; et à son ordre les Divs [8] le soulevèrent et le portèrent…Lire la suiteNowrouz et le couronnement de Djamshid
Il est aussi intéressant de savoir que les symboles de Norouz et du nouvel an iranien, véritables œuvres architecturales, peuvent aujourd’hui encore être admirés sur les murs de Persépolis. Ils sont les témoins de la renaissance et du renouvellement de la Nature. Il s’agit de deux animaux : le lion et la vache. Selon les archéologues, le premier est le…Lire la suiteLes symboles de Nowrouz à Persépolis
Cette histoire est celle d’un roi Sassanide, Khosrow II, appelé aussi Khosrow Parwis, et d’une princesse chrétienne prénommée Shirin. Cette histoire, à laquelle il est fait allusion dans une partie du Shâhnâmeh, fut reprise par Nezâmi, au XIIe siècle, dans le cadre d’une épopée tragique. Ce dernier, qui écrivit ses poèmes romantiques cent ans après le Shâhnâmeh, reprend souvent Ferdowsi…Lire la suiteKhosrow et Shirin
Dans les rues, les derniers jours avant le nouvel an, il est aussi possible de rencontrer Hadji Firouz, personnage traditionnel maquillé de noir et vêtu de rouge, muni d’un tambourin qui chante et danse en souhaitant ses bons vœux pour la nouvelle année. De nos jours, en général, il ne s’agit que d’un musicien de rue, mais il est encore…Lire la suiteHadji Firouz