De mon domicile, je peux apercevoir la rade et un peu l’Arsenal au loin mais évidemment pas la partie dissimulée par l’estuaire de la Penfeld. En fait, trois fois rien à cause de l’architecture néosoviétique imposée au lendemain de la guerre. D’ailleurs, à ce propos, un truc qui revient comme un leitmotiv quand quelqu’un évoque Brest. Il s’agit d’un cliché…Lire la suiteQuand quelqu’un évoque Brest…