Faire croire à nos peuples que la cupidité est le moteur du développement humain et social est une catastrophe anthropologique. (…) Vouloir construire la mondialisation sur l’égoïsme d’une course obsessionnelle à la richesse matérielle est un leurre. L’homme succombe parfois à l’avidité mais son cœur porte avant tout un désir du bien commun, une soif de communion que les marchés…Lire la suiteLe désir du bien commun