La marche du sel lui vaut d’être à nouveau arrêté mais elle convainc les libéraux britanniques d’engager l’Inde dans la voie de l’indépendance. Dès l’année suivante, celui que Winston Churchill qualifie avec mépris de « fakir à moitié nu » est convié à Londres à une table ronde destinée à débattre d’une hypothétique indépendance de l’Inde. Mais les discussions achoppent…Lire la suiteIl renonce à la présidence du parti