La danse mapiko est une danse de célébration pratiquée par le peuple makondé du Mozambique. Faisant partie du rite traditionnel de passage de la puberté à l’âge adulte, la danse est exécutée dans un enclos, généralement sous des manguiers, avec des danseurs, des musiciens et le public qui se réunissent pour fêter le rite d’initiation. La danse peut également être…Lire la suiteL’Ingoma Ya Mapiko
Repère : 04 - Savoir
Que savons-nous [23] ? Qu’ignorons-nous ? Quelles sont les bases de notre éducation [24] ? À quoi pensons-nous [25] ? Quelle place y occupent les sciences [26] ? les arts [27] ? les croyances & incroyances [28] ? Comment y considérons la signification [29] ? Quelle place occupent les nombres [30] ? Quelles questions [31] nous posons-nous ? Quelle est notre relation à la vérité [32] ?
Les communautés Chopi, établies principalement dans la province d’Inhambane, dans le sud du Mozambique, sont réputées pour leur musique orchestrale. Leurs orchestres sont composés de cinq à trente xylophones en bois appelés timbila (mbila au singulier), de tailles et tonalités différentes. Les timbila sont des instruments en bois, confectionnés et accordés avec le plus grand soin. Ils sont fabriqués en…Lire la suiteLe Chopi Timbila
Les pratiques mongoles de vénération des sites sacrés se sont développées dans l’espace culturel qui constitue un berceau du style de vie nomade et se caractérise par une communion avec la nature et l’environnement. Selon le shamanisme ancien, ces pratiques sont fondées sur la croyance en l’existence de divinités invisibles du ciel, de la terre, des montagnes et de l’ensemble…Lire la suiteLes pratiques traditionnelles mongoles de vénération de sites sacrés
Le Tuuli mongol est une tradition orale composée d’épopées héroïques qui font entre plusieurs centaines et plusieurs milliers de vers et combinent bénédictions, panégyriques, formules magiques, expressions idiomatiques, contes de fées, mythes et chants traditionnels. Il est considéré comme une encyclopédie vivante des traditions mongoles orales et immortalise l’histoire héroïque du peuple mongol. Les chanteurs épiques se distinguent par une…Lire la suiteLe Tuuli mongol, épopée mongole
Le Biyelgee : danse populaire traditionnelle mongole est exécuté par les danseurs de différents groupes ethniques des provinces mongoles de Khovd et d’Uvs. Considérées comme l’ancêtre originel des danses nationales mongoles, les danses Biyelgee incarnent le mode de vie nomade dans lequel elles puisent leurs racines. Elles sont en principe exécutées dans l’espace restreint de l’intérieur du ger (la yourte,…Lire la suiteLe Biyelgee mongol, danse populaire traditionnelle mongole
La flûte limbe est une flûte traversière en bois de feuillu ou en bambou traditionnellement utilisée pour les chants longs populaires mongols. Grâce à la technique de la respiration circulaire, les joueurs de flûte limbe peuvent produire les mélodies continues caractéristiques de ce chant long. Les musiciens inspirent par le nez et soufflent simultanément par la bouche l’air qu’ils ont…Lire la suiteLa technique d’interprétation du chant long des joueurs de flûte limbe – la respiration circulaire
La musique pour flûte tsuur repose sur une technique à la fois instrumentale et vocale : un mélange de sons produits simultanément par l’instrument et par la gorge du musicien. La musique pour flûte tsuur est inséparable des populations mongoles Uriankhai de la région de l’Altaï et fait, aujourd’hui encore, partie intégrante de leur vie quotidienne. Elle plonge ses racines…Lire la suiteLa musique traditionnelle pour flûte tsuur
Le violon à deux cordes appelé morin khuur occupe une place de choix dans la culture nomade mongole. Des sources écrites datant de l’empire mongol des treizième et quatorzième siècles font état d’instruments à cordes au manche orné d’une tête de cheval. L’importance de ce violon va bien au-delà de sa fonction d’instrument de musique, car il était traditionnellement partie…Lire la suiteLa musique traditionnelle du Morin Khuur
Le Khöömei est une forme de chant originaire de l’Ouest de la Mongolie, dans les montagnes de l’Altaï. Le chanteur imite des sons de la nature, en émettant simultanément deux sons vocaux distincts : un bourdon continu sur lequel se superpose une mélodie d’harmoniques. Le Khöömei, qui signifie littéralement pharynx, passe pour s’être inspiré des oiseaux dont les esprits tiennent…Lire la suiteL’art traditionnel du Khöömei mongol
Depuis plus de 1 500 ans, les Olmèques, les Zapotèques et les Mixtèques ont successivement habité le site. Les terrasses, barrages, canaux, pyramides et tertres artificiels de Monte Albán ont été littéralement sculptés dans la montagne et sont les symboles d’une topographie sacrée. Tout près, le plan en damier de la ville d’Oaxaca est un bon exemple d’urbanisme de la…Lire la suiteCentre historique de Oaxaca et zone archéologique de Monte Alban
Cette ville sacrée était l’un des plus grands centres mayas de la péninsule du Yucatan. Tout au long de son histoire, qui s’étend sur presque mille ans, la ville fut embellie grâce à la contribution de différents peuples. Mayas et Toltèques ont laissé sur la pierre des monuments et des œuvres artistiques I’empreinte de leur vision du monde et de…Lire la suiteVille préhispanique de Chichen – Itza
Exemple éminent de sanctuaire maya de l’époque classique, Palenque, qui connut son apogée entre le VIe et le VIIIe siècle, étendit son influence dans tout le bassin de l’Usumacinta. La technique et l’élégance de ses constructions, comme la légèreté de ses reliefs sculptés illustrant des thèmes mythologiques, témoignent du génie créateur de la civilisation maya.Lire la suiteCité préhispanique et parc national de Palenque
Les cinq missions franciscaines de la Sierra Gorda ont été édifiées pendant la dernière phase d’évangélisation de l’intérieur des terres du Mexique (milieu du XVIIIe siècle), et sont devenues une référence pour la poursuite de l’évangélisation de la Californie, de l’Arizona et du Texas. La façade richement ornée des églises est d’un intérêt tout particulier car elle représente un exemple…Lire la suiteMissions franciscaines de la Sierra Gorda de Querétaro
Les Premiers monastères du XVIe siècle sur les versants du Popocatepetl sont un bien en série comprenant 15 éléments constitutifs situés dans les États de Morelos, Puebla et Tlaxcala au Mexique, construits dans le cadre de l’évangélisation et de la colonisation des territoires septentrionaux du Mexique. Parfaitement conservés, ils sont très représentatifs du modèle architectural suivi par les premiers missionnaires…Lire la suitePremiers monastères du XVIe siècle sur les versants du Popocatepetl
La Grande Fête traditionnelle se déroule chaque année du 4 au 23 janvier à Chiapa de Corzo, au Mexique. Cette fête, qui associe musique, danse, artisanat, gastronomie, cérémonies religieuses et festivités, est organisée en l’honneur de trois saints catholiques : Saint Antoine Abbot, Notre-Seigneur d’Esquipulas et, le plus important, Saint Sébastien. Les danses des Parachicos – le terme désigne à…Lire la suiteLes Parachicos dans la fête traditionnelle de janvier à Chiapa de Corzo
Le Centre des arts autochtones a été conçu en réponse à un désir à long terme du peuple Totonaque de créer une institution éducative pour transmettre ses enseignements, son art, ses valeurs et sa culture, tout en fournissant aussi aux créateurs indigènes les conditions favorables au développement de leur art. La structure du centre représente un établissement traditionnel composé de…Lire la suiteXtaxkgakget Makgkaxtlawana : le Centre des arts autochtones et sa contribution à la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel du peuple totonaque de Veracruz, Mexique
Dans la réserve d’El Vizcaíno, en Basse-Californie, la Sierra de San Francisco a abrité, depuis 100 av. J.-C. jusqu’à 1300 apr. J.-C., un peuple aujourd’hui disparu, qui a laissé un des plus beaux et des plus importants ensembles de peintures rupestres du monde. Celles-ci, remarquablement conservées en raison du climat sec et des difficultés d’accès, représentent des êtres humains et…Lire la suitePeintures rupestres de la Sierra de San Francisco
Le peuple Otomí-Chichimeca, établi dans la zone semi-désertique de l’État du Querétaro, dans le centre du Mexique, a élaboré un ensemble de traditions qui témoigne du lien exceptionnel que ce peuple entretient avec la topographie et l’écologie locales. Son environnement culturel est dominé par un triangle symbolique, formé par les collines de Zamorano et Frontón ainsi que le rocher de…Lire la suiteLes lieux de mémoire et traditions vivantes du peuple Otomí-Chichimecas de Tolimán : la Peña de Bernal, gardienne d’un territoire sacré
La Pirekua est une musique traditionnelle des communautés autochtones P’urhépecha de l’État du Michoacán, Mexique, que chantent aussi bien les hommes que les femmes. Son mélange de styles divers a des origines africaines, européennes et américaines autochtones, avec des variations régionales identifiées dans 30 communautés P’urhépecha sur 165. Une Pirekua, qui est généralement chantée avec un rythme lent, peut également…Lire la suiteLa Pirekua, chant traditionnel des P’urhépecha
Le campus qui est constitué d’un ensemble de bâtiments, d’équipements sportifs et d’espaces ouverts dans la zone méridionale de Mexico a été construit entre 1949 et 1952. Plus de 60 architectes, ingénieurs et artistes ont travaillé au projet. Le campus est un superbe exemple du modernisme du XXe siècle, il illustre l’intégration de l’urbanisme, de l’architecture, de l’ingénierie, de l’architecture…Lire la suiteCampus central de la cité universitaire de l’Universidad Nacional Autónoma de Mexico (UNAM)