Le Centre des arts autochtones a été conçu en réponse à un désir à long terme du peuple Totonaque de créer une institution éducative pour transmettre ses enseignements, son art, ses valeurs et sa culture, tout en fournissant aussi aux créateurs indigènes les conditions favorables au développement de leur art. La structure du centre représente un établissement traditionnel composé de…Lire la suiteXtaxkgakget Makgkaxtlawana : le Centre des arts autochtones et sa contribution à la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel du peuple totonaque de Veracruz, Mexique
Repère : 04 - Savoir
Que savons-nous [23] ? Qu’ignorons-nous ? Quelles sont les bases de notre éducation [24] ? À quoi pensons-nous [25] ? Quelle place y occupent les sciences [26] ? les arts [27] ? les croyances & incroyances [28] ? Comment y considérons la signification [29] ? Quelle place occupent les nombres [30] ? Quelles questions [31] nous posons-nous ? Quelle est notre relation à la vérité [32] ?
Dans la réserve d’El Vizcaíno, en Basse-Californie, la Sierra de San Francisco a abrité, depuis 100 av. J.-C. jusqu’à 1300 apr. J.-C., un peuple aujourd’hui disparu, qui a laissé un des plus beaux et des plus importants ensembles de peintures rupestres du monde. Celles-ci, remarquablement conservées en raison du climat sec et des difficultés d’accès, représentent des êtres humains et…Lire la suitePeintures rupestres de la Sierra de San Francisco
Le peuple Otomí-Chichimeca, établi dans la zone semi-désertique de l’État du Querétaro, dans le centre du Mexique, a élaboré un ensemble de traditions qui témoigne du lien exceptionnel que ce peuple entretient avec la topographie et l’écologie locales. Son environnement culturel est dominé par un triangle symbolique, formé par les collines de Zamorano et Frontón ainsi que le rocher de…Lire la suiteLes lieux de mémoire et traditions vivantes du peuple Otomí-Chichimecas de Tolimán : la Peña de Bernal, gardienne d’un territoire sacré
La Pirekua est une musique traditionnelle des communautés autochtones P’urhépecha de l’État du Michoacán, Mexique, que chantent aussi bien les hommes que les femmes. Son mélange de styles divers a des origines africaines, européennes et américaines autochtones, avec des variations régionales identifiées dans 30 communautés P’urhépecha sur 165. Une Pirekua, qui est généralement chantée avec un rythme lent, peut également…Lire la suiteLa Pirekua, chant traditionnel des P’urhépecha
Le campus qui est constitué d’un ensemble de bâtiments, d’équipements sportifs et d’espaces ouverts dans la zone méridionale de Mexico a été construit entre 1949 et 1952. Plus de 60 architectes, ingénieurs et artistes ont travaillé au projet. Le campus est un superbe exemple du modernisme du XXe siècle, il illustre l’intégration de l’urbanisme, de l’architecture, de l’ingénierie, de l’architecture…Lire la suiteCampus central de la cité universitaire de l’Universidad Nacional Autónoma de Mexico (UNAM)
La Mahadra, parfois appelée « l’université du désert », est un cadre au sein des communautés d’éducation et de socialisation dans lequel les connaissances traditionnelles et les expressions littéraires sont transmises, principalement par le biais de l’écoute et de la mémorisation. Vieille de plusieurs siècles, elle est devenue un élément essentiel de la société mauritanienne et a permis la reproduction,…Lire la suiteMahadra, système communautaire de transmission des savoirs traditionnels et des expressions orales
Le geet gawai est une cérémonie précédant le mariage mêlant des rituels, des prières, des chants, de la musique et des danses. Elle concerne principalement les communautés bhojpuriphone d’origine indienne de Maurice. La cérémonie est traditionnellement pratiquée par les femmes de la famille et des voisines chez le futur marié ou la future mariée. Cinq femmes mariées placent du curcuma,…Lire la suiteLe geetgawai, chants populaires en bhojpuri à Maurice
Le séga tipik mauricien traditionnel est un art du spectacle très dynamique, emblématique de la communauté créole ou pratiqué lors d’événements familiaux informels ainsi que dans des lieux publics. Les chansons, chantées dans une tonalité mineure, augmentent progressivement de rythme, tandis que les danseurs bougent les hanches et les mains au rythme des percussions, en faisant des petits pas pour…Lire la suiteLe séga mauricien traditionnel
Le séga tambour de Rodrigues est l’interprétation dynamique et rythmique d’une musique, de chants et de danses, qui puisent leurs origines dans les communautés d´esclaves. Le tambour, percussion principale, est frappé énergiquement, tandis que le triyang est frappé latéralement, et le bwat et les mayos sont frappés de la main. Le séga tambour est interprété sur toute l’île Rodrigues, dans…Lire la suiteLe séga tambour de Rodrigues
Originaire de l’archipel des Chagos, le séga tambour des Chagos est l’un des types de musique séga de l’île Maurice. Comme les autres formes de musique séga, il est né de l’esclavage et chanté en créole chagossien, le dialecte propre à l’archipel. Il s’agit d’un mélange de musiques, de danses et de chants doux, énergiques et rythmés. L’élément central est…Lire la suiteLe séga tambour des Chagos
Le Malhoun, un art poético-musical populaire
Le Malhoun est une forme d’expression poétique populaire au Maroc. Les vers sont chantés en arabe dialectal et parfois en hébreu. Ils sont accompagnés de musique jouée sur des instruments traditionnels, notamment le luth, le violon, le rebab et de petits tambours. Parmi les motifs populaires, on trouve l’amour, les joies de la vie, la beauté des gens, la nature,…Lire la suiteLe Malhoun, un art poético-musical populaire
La Taskiwin est une danse martiale typique des montagnes du Haut-Atlas occidental au centre du Maroc. Elle tire son nom de la corne richement décorée que porte chaque danseur, le Tiskt. Elle consiste à faire vibrer les épaules au rythme des tambourins et des flûtes. Cette pratique encourage la cohésion sociale et l’harmonie et représente un important mode de socialisation…Lire la suiteLa Taskiwin, danse martiale du Haut-Atlas occidental
Le terme gnaoua se rapporte à un ensemble de productions musicales, de performances, de pratiques confrériques et de rituels à vocation thérapeutique où le profane se mêle au sacré. Le gnaoua est avant tout une musique confrérique soufie généralement associée à des paroles à caractère religieux, qui invoque les ancêtres et les esprits. Pratiquée à l’origine par des groupes et…Lire la suiteGnaoua
Le Għana (prononcé « ana ») est utilisé pour décrire trois types apparentés de chants populaires maltais en rimes. De nos jours, la forme de Għana la plus populaire est celle dite de « l’esprit vif », un duel improvisé entre 2 ou 4 chanteurs, où l’importance tient aux rimes, à une argumentation convaincante et à la drôlerie de la…Lire la suiteLe L-Għana, une tradition du chant populaire maltais
Les îles de Malte et de Gozo abritent sept temples mégalithiques, chacun témoignant d’un développement distinct. À Gozo, les deux temples de Ggantija sont remarquables pour leur réalisations gigantesques de l’âge de bronze. Dans l’île de Malte, les temples de Hagar Qim, Mnajdra et Tarxien sont des chefs-d’œuvre architecturaux uniques étant donné les ressources très limitées dont disposaient leurs constructeurs.…Lire la suiteTemples mégalithiques de Malte
Dotée de la prestigieuse université coranique de Sankoré et d’autres medersa, Tombouctou était aux XVe et XVIe siècles une capitale intellectuelle et spirituelle et un centre de propagation de l’islam en Afrique. Ses trois grandes mosquées (Djingareyber, Sankoré et Sidi Yahia) témoignent de son âge d’or. Bien que restaurés au XVIe siècle, ces monuments sont aujourd’hui menacés par l’avancée du…Lire la suiteTombouctou
Le M’Bolon est un instrument de musique composé d’une grande caisse de résonance faite d’une calebasse recouverte de cuir de vache, surmontée d’un manche en bois arqué muni de cordes. Pour amplifier les vibrations sonores, le musicien porte souvent un dispositif en forme de cloche fait de plaques métalliques auxquelles sont fixés de petits lobes de forme ovale. Cet appareil,…Lire la suiteLes pratiques et expressions culturelles liées au « M’bolon », instrument de musique traditionnel à percussion
La sortie des masques et marionnettes est une fête rituelle pratiquée dans les communautés bambaras, bozos, markas et somonos de Markala, qui se caractérise par des danses avec des masques, des tam-tams et des chansons interprétées par des danseurs et des marionnettistes. Chacun des masques et marionnettes symbolise le lien sacré entre l’homme et la nature, à travers la représentation…Lire la suiteLa sortie des masques et marionnettes de Markala
La société secrète des Kôrêdugaw est un rite de sagesse qui occupe une place centrale dans l’identité culturelle des communautés bambara, malinké, senufo et samogo. Les initiés revêtent des haillons ornés de colliers de fèves rouges et d’un grand nombre d’objets divers. Ils suscitent l’hilarité par leur comportement glouton, leur humour caustique et leur esprit, mais ils font aussi preuve…Lire la suiteLa société secrète des Kôrêdugaw, rite de sagesse du Mali
L’art de fabriquer et de jouer la mbira/sanza, lamellophone traditionnel au Malawi et au Zimbabwe, joue un rôle clé dans les communautés concernées. La mbira/sanza de base est un instrument constitué d’une planche en bois sur laquelle sont fixées des lames métalliques. Elle est parfois montée sur une calebasse/caisse de résonance en bois. Les lames métalliques, fabriquées à partir de…Lire la suiteL’art de fabriquer et de jouer la mbira/sanza, lamellophone traditionnel au Malawi et au Zimbabwe