Datant du début du XVIIe siècle, le polder de Beemster est un exemple exceptionnel de terre conquise sur l’eau aux Pays-Bas. Il a conservé intact son paysage régulier de champs, routes, canaux, digues et villages dessinés selon les principes d’aménagement de l’Antiquité et de la Renaissance.Lire la suiteDroogmakerij de Beemster (Polder de Beemster)
Repère : 02 - Espace
Comment nous situons-nous dans l’univers [12] ? Quel est notre rapport à l’environnement [13] ? Comment y considérons-nous les espèces[14] ? Quelle place y prend la matière [15] ? Quelle idée nous faisons-nous du déplacement (aller) [16] ? et de l’habitat [17] ?
Outre leur intérêt artistique, ces missions représentent les initiatives sociales et économiques qui ont accompagné la christianisation du bassin du Río de la Plata par la Compagnie de Jésus aux XVIIe et XVIIIe siècles.Lire la suiteMissions jésuites de la Santísima Trinidad de Paraná et Jesús de Tavarangue
Pont naturel entre l’Amérique du Sud et l’Amérique centrale, le parc du Darien présente une exceptionnelle variété d’habitats : plages de sable, côtes rocheuses, mangroves, marécages, forêts tropicales de basse et moyenne altitude abritant une faune et une flore remarquables. Deux tribus indiennes vivent dans le parc.Lire la suiteParc national du Darien
Fondé en 1519 par le conquistador Pedrarias Dávila, Panamá Viejo fut le premier établissement européen sur la côte pacifique des Amériques. Son plan en damier témoigne de la conception européenne de ville planifiée. Abandonnée au milieu du XVIIe siècle, elle fut remplacée par une ville nouvelle, le « District historique », qui a conservé intact le tracé de ses rues…Lire la suiteSite archéologique de Panamá Viejo et district historique de Panamá
Le Parc national de Coiba, au large de la côte ouest du Panama, protège l’île de Coiba, 38 îlots et les zones marines environnantes dans le golfe de Chiriqui. Abritées des vents froids et des effets d’El Niño, les forêts tropicales humides du Pacifique de Coiba entretiennent un niveau d’endémisme exceptionnel pour les mammifères, les oiseaux et les plantes en…Lire la suiteParc national de Coiba et sa zone spéciale de protection marine
Depuis des siècles, le peuple kuna d’Armila, au Panama, vivent en harmonie avec leur environnement naturel et la faune locale, un lien qui s’exprime dans les traditions orales. Suite au déclin de la transmission de ces traditions orales et pour renforcer les pratiques artisanales, les expressions rituelles, les danses et la musique associées à la nature, les autorités locales et…Lire la suiteLe programme de pratiques de sauvegarde du PCI pour le Festival culturel et écologique des tortues marines d’Armila
Magnifiques exemples de l’architecture militaire des XVIIe et XVIIIe siècles, ces forts de la côte caraïbe du Panamá faisaient partie du système défensif mis en place par la Couronne d’Espagne pour protéger le grand commerce transatlantique.Lire la suiteFortifications de la côte caraïbe du Panama : Portobelo, San Lorenzo
Ancien Jéricho/Tell es-Sultan
[arabe : Jéricho أريحا / Tell es-Sultan السلطان | hébreu : יְרִיחוֹ Jéricho]
Situé dans la vallée du Jourdain, le bien proposé pour inscription est un tell, ou monticule, de forme ovale, qui recèle les gisements préhistoriques d’activités humaines et comprend la source voisine pérenne d’Aïn es-Sultan. Un établissement permanent s’y forma entre le IXe et le VIIIe millénaire avant notre ère, mettant à profit la fertilité du sol de l’oasis et un…Lire la suiteAncien Jéricho/Tell es-Sultan
Ce site de 100 200 hectares compte 445 îlots calcaires inhabités. D’origine volcanique, les îlots ont souvent la forme de champignons entourés de lagons couleur turquoise et de récifs coralliens. La beauté du site est renforcée par un système complexe de récifs comptant 385 espèces de coraux et différents types d’habitat. Ces derniers hébergent une grande variété de plantes, d’oiseaux…Lire la suiteLagon sud des îles Chelbacheb
Ruines archéologiques de Mohenjo Daro
Ce site conserve les ruines d’une ville immense de la vallée de l’Indus, entièrement construite en brique crue et remontant au IIIe millénaire av. J.-C. Son acropole, élevée sur d’énormes remblais, ses remparts et la rigueur du plan de sa ville basse témoignent d’un urbanisme strictement planifié.Lire la suiteRuines archéologiques de Mohenjo Daro
Capitale de trois dynasties successives, puis possession des empereurs moghols de Delhi, Thatta n’a cessé d’être embellie du XIVe au XVIIIe siècle. Les vestiges de la ville et de sa nécropole offrent un témoignage unique sur la civilisation du Sind.Lire la suiteMonuments historiques à Makli, Thatta
Le Suri Jagek, dont la traduction littérale est « observation du soleil », est la pratique et le système des connaissances météorologiques et astronomiques traditionnelles des Kalash – utilisées essentiellement dans la chaine de montagnes de l’Hindou Kouch – basées sur l’observation du soleil, de la lune, des étoiles et des ombres par rapport à la topographie locale. Le système…Lire la suiteLe Suri Jagek (observation du soleil), pratique météorologique et astronomique traditionnelle fondée sur l’observation du soleil, de la lune et des étoiles par rapport à la topographie locale
Il s’agit de deux chefs-d’œuvre de la brillante civilisation moghole à son apogée, au temps de l’empereur Shah Jahan. Le fort de Lahore renferme des palais et mosquées de marbre, ornés de mosaïques et de dorures. à proximité de la ville, les merveilleux jardins de Shalimar étagés sur trois terrasses, avec des pavillons, des cascades et de vastes pièces d’eau,…Lire la suiteFort et jardins de Shalimar à Lahore
Après avoir vaincu l’empereur moghol Humayun en 1541, Sher Shah Suri a construit un ensemble d’ouvrages défensifs à Rohtas, site stratégique dans le nord de l’actuel Pakistan. Le fort de Rohtas n’a jamais été pris d’assaut et subsiste intact aujourd’hui. Les fortifications principales sont constituées de murs massifs qui s’étendent sur plus de 4 km ; elles comportent des bastions…Lire la suiteFort de Rohtas
La ville historique de Samarkand représente un carrefour et un lieu de synthèse des cultures du monde entier. Fondée au VIIe siècle avant l’ère chrétienne sous le nom d’Afrasyab, Samarkand connut son apogée à l’époque timouride, du XIVe au XVe siècle. Les principaux monuments comprennent la mosquée et les médersas du Registan, la mosquée de Bibi-Khanum, l’ensemble de Shah i-Zinda…Lire la suiteSamarkand – carrefour de cultures
Itchan Kala est la ville intérieure, retranchée derrière des murailles de brique hautes d’une dizaine de mètres, de l’ancienne oasis de Khiva, qui était l’ultime étape des caravaniers avant de traverser le désert en direction de l’Iran. Bien qu’ayant conservé peu de monuments très anciens, elle constitue un exemple cohérent et bien préservé d’architecture musulmane de l’Asie centrale avec des…Lire la suiteItchan Kala
Le centre historique de Shakhrisyabz compte des édifices monumentaux exceptionnels et des quartiers anciens témoignant du développement séculaire de la ville, et tout particulièrement de son apogée, sous le règne d’Amir Temour et des temourides, du XVe au XVIe siècle.Lire la suiteCentre historique de Shakhrisyabz
Couvrant près de 100 000 ha dans l’ouest de l’Ouganda, le parc comprend la majeure partie de la chaîne des Rwenzori, qui culmine à 5 109 m avec le mont Margherita, troisième sommet d’Afrique. C’est une région d’une grande beauté dont les glaciers, les cascades et les lacs offrent un cadre alpin sans égal en Afrique. Le parc contient d’importants…Lire la suiteMonts Rwenzori
Situé dans le sud-ouest de l’Ouganda, à la jonction des forêts de plaine et de montagne, le parc de Bwindi s’étend sur plus de 32 000 ha et présente une très riche biodiversité avec plus de 160 espèces d’arbres et plus de 100 espèces de fougères. Il abrite également de nombreuses espèces d’oiseaux et de papillons, ainsi que plusieurs espèces…Lire la suiteForêt impénétrable de Bwindi
Les cinq systèmes d’irrigation inscrits représentent les quelques 3 000 systèmes d’irrigation encore en activité en Oman. La construction la plus ancienne pourrait remonter aux environs de 500 apr. J.-C. mais des preuves archéologiques récentes suggèrent que les systèmes d’irrigation existaient dans la région dès 2 500 av. J.-C. Ce système d’irrigation conduit l’eau des sources souterraines, par gravité, sur…Lire la suiteSystèmes d’irrigation aflaj d’Oman