Radicaux chinois ( 207 / 214) : 鼓 gǔ tambour [Nombre de traits : 13 ] – Exemples : 鼕、鼖、鼗Lire la suitetambour (radicaux chinois)
Pantopique : instrument de musique
Comment les premiers instruments de musique ont-ils émergé, et quelles innovations ont conduit à la création d'une gamme variée d'instruments, de la flûte à percussion aux instruments à cordes sophistiqués ? Comment la musique transcende-t-elle les frontières linguistiques et culturelles, et comment les instruments jouent-ils un rôle essentiel dans la préservation et la transmission des traditions musicales ? Quels sont les liens entre la conception d'un instrument et le genre musical auquel il est associé, et comment les musiciens repoussent-ils les limites en inventant de nouveaux sons et en fusionnant des styles différents ? Comment les instruments de musique sont-ils utilisés dans des rituels religieux, des cérémonies traditionnelles et des expressions artistiques contemporaines, reflétant ainsi la profondeur et la variété des expériences humaines ? Comment la technologie moderne influence-t-elle la fabrication et la conception des instruments, et quelles possibilités cela ouvre-t-il pour l'innovation musicale ?…
Un pantopique correspond à la réunion de quelques repères, plus ou moins nombreux, que vous pouvez commenter, compléter, étendre, selon vos propres champs d’expériences, de savoirs, d’enquêtes… - contact@21dialogues21.org
Hiéroglyphe égyptien : sistreLire la suitesistrum (hiéroglyphe égyptien)
Le qanun (arabe : قانون) ou « kanonaki » ou « kalong » est un instrument de musique à cordes pincées (famille des cithares de table) que l’on trouve au Proche et Moyen-Orient ainsi qu’en Anatolie / Caucase. Son nom vient du grec « κανών » (qui signifie « mesure »). Aytaç Doğan – Kanun Resitali 1 Aytac Dogan / Aytaç Doğan (1976 – ) est un musicien…Lire la suiteqanun
Il était un grand maître de veena dont la réputation avait franchi les limites des royaumes… Il était également un conseiller du roi, qui était son plus grand ennemi. Le conseiller avait déjà à plusieurs reprises tentait de lui nuire – sans succès. Mais il eut un jour une terrible idée. Tandis que l’anniversaire du roi approchait, il proposa que…Lire la suiteLe maître de veena…
Vous plairait-il de partir dans les vastes étendues aborigènes australiennes ? Occasion de remonter au Rêve, au Dreaming, lequel donna forme et sens à toutes choses. Invitation à nous arrêter sur quelques traces pétroglyphiques ou peut-être sur des représentations en dot painting. [dot painting m. : littéralement « peinture à points », un style de peinture aborigène australien utilisant des…Lire la suiteLe didgeridoo et les termites
Star de toutes les danses, trop humble pour le proclamer, Il dit que la vie doit être célébrée, Et être chérie ensemble comme une seule unité. Invité incontournable du merengue, bachata et cumbia, Incarnation d’une appréhension de la vie commune à toute une civilisation, Le traditionnel et bien-aimé Güiro porte la magnifique dualité Qui caractérise l’être humain, Et surtout le…Lire la suiteGüiro bien-aimé
Django Reinhardt (1910-1953) – Guitariste et compositeur de jazz français, né en Belgique dans une famille sinté (manouche).Lire la suiteDjango Reinhardt
On dit qu’au début des temps, l’obscurité régnait. Tout y était froid et les créatures vivaient dans la peur. C’est pourquoi un dénommé Bur Buk Boon se mit en tête de faire une grande flambée pour réchauffer les siens. Il ramassa quantité de bois et les déposa un à un dans le foyer. Pourtant, il s’arrêta soudain car un bois…Lire la suiteComment le didgeridoo prit vie…
Les biwa hoshi sont des moines mendiants japonais du bouddhisme Zen, également connus sous le nom de bonzes chanteurs. Originaires de l’ère médiévale, ces moines itinérants étaient souvent aveugles et jouaient du biwa, un instrument à cordes japonais, tout en chantant des épopées narratives. Les biwa hoshi étaient réputés pour diffuser des récits épiques et des enseignements bouddhistes lors de…Lire la suiteBiwa houshi
La Journée internationale du violoncelle, une fête informelle marquée par les violoncellistes et les amateurs de musique du monde entier, est célébrée le 29 décembre, date de l’anniversaire de Pablo Casals, qui a été désigné par Fritz Kreisler comme « le plus grand musicien à avoir jamais tiré l’archet ».Lire la suite29 décembre – Journée internationale du violoncelle
La présence et l’utilisation de pututu, instruments sonores taillés dans des conques marines, sont attestées pour les Andes centrales préhispaniques depuis le troisième millénaire av. J.-C. jusqu’à la chute de l’empire Inca (1532), en faisant ainsi l’un des plus anciens instruments connus pour cette zone géographique. Un dépôt exceptionnel de vingt pututu a été découvert à Chavín de Huántar, important…Lire la suitepututu
Certains situent la txalaparta dans un contexte animiste, d’autres expliquent qu’il s’agit d’un phénomène de communication dans la montagne, d’autres chercheurs croient la trouver dans les textes de Strabon, avant notre ère. Grâce à des témoignages directs, nous pouvons remonter avec certitude jusqu’à 200 ans environ, et nous savons que cet instrument constitue une chaîne avec le passé, rattachée à…Lire la suiteLes sources de la txalaparta
Bandura dans les rues de Kiev Transporté par un bel air Bandura Vous voici à rêver, Traversant les rues de Kiev, Avec plus de 50 cordes métalliques, Vous virevoltez aux multiples tons de cet instrument atypique… Accompagné de danses folkloriques, Les kobzars, musiciens ambulants, Vous toucheront avec leurs chansons Qui font écho aux exploits des héros ukrainiens…Lire la suiteLe son de Bandura dans les rues de Kiev…
Le duduk, hautbois arménien, est un instrument à vent à anche double, au timbre chaud et doux, légèrement nasal. Il appartient à la famille des aérophones qui comprend également le balaban, joué en Azerbaïdjan et en Iran, le duduki, très répandu en Géorgie et le nay turc. Le bois tendre de l’abricotier offre le matériau idéal pour creuser le corps…Lire la suiteLe Duduk et sa musique
Les ethnies qui pratiquent cet instrument depuis le plus longtemps sont les Malinké (auxquels on attribue généralement la paternité de ce tambour), les Wassoulounké, les Bamanan du sud et les Soninké. Les Khassonké et les Bamaman du Kharta, ainsi que d’autres groupes ethniques du Mali ou des pays avoisinnants, l’ont vraisemblablement adopté ultérieurement.Lire la suiteLe djembé et les groupes ethniques
Le son serait celui du galop de cheval ou des battements du cœur. «Txalaparta, c’est l’écho d’un silence, silence rendu explicite : la solitude de la vallée soudain percée par le galop du cheval (zaldi) solitaire…Lire la suiteLe bruit d’un cheval au galop
Hiéroglyphe égyptien : sistre Pour la plupart des savants évoquant le sistre égyptien, la langue égyptienne hiéroglyphique semble identifier elle-même deux types de sistres. Le terme sššt (phonétiquement sechechet), dérivé du verbe sšš, est le terme le plus ancien, avec une apparition dans les textes dès l’Ancien Empire. Le mot est une transcription d’une onomatopée renvoyant au bruissement des tiges…Lire la suiteHiéroglyphe égyptien du sistre
Coquille en spirale utilisée comme trompe en diverses régions d’Asie, d’Amérique, d’Océanie et à Madagascar.Lire la suiteconque
Situés sur des falaises abruptes dans les régions frontalières du sud-ouest de la Chine, ces 38 sites d’art rupestre illustrent la vie et les rituels du peuple Luoyue. Ils datent d’une période s’étendant des alentours du Ve siècle av. J.-C. au IIe siècle de notre ère. Ils s’inscrivent dans un paysage constitué de karst, de rivières et de plateaux, et…Lire la suitePaysage culturel de l’art rupestre de Zuojiang Huashan
Les « tamboradas » sont des rituels sonores et collectifs basés sur le battement simultané, intense et continu de milliers de tambours, jouant pendant des jours et des nuits, de façon ininterrompue dans les espaces publics des villes et des villages. Chaque année se recrée un captivant paysage sonore et identitaire chargé d’émotion et d’un intense sentiment de communion collective.…Lire la suiteLes tamboradas, rituels de battements de tambour