Résidence de l’empereur éthiopien Fasilidès et de ses successeurs aux XVIe et XVIIe siècles, la ville fortifiée de Fasil Ghebbi regroupe à l’intérieur d’une enceinte de 900 m palais, églises, monastères, bâtiments publics et privés d’un style très particulier, marqué d’influences indiennes et arabes, et métamorphosé par l’esthétique baroque transmise au Gondar par les missionnaires jésuites.Lire la suiteFasil Ghebi
Pantopique : Ethiopie
Un pantopique correspond à la réunion de quelques repères, plus ou moins nombreux, que vous pouvez commenter, compléter, étendre, selon vos propres champs d’expériences, de savoirs, d’enquêtes… - contact@21dialogues21.org
Shuwalid est une fête annuelle de trois jours célébrée par le peuple harari d’Ethiopie. Elle marque la fin des six jours de jeûne observés pour compenser les jours de Ramadan qui n’ont pas été respectés. Le peuple harari fête le shuwalid dans les sanctuaires d’Aw Shulum Ahmed et d’Aw Akebara, situés aux portes d’entrée principales de la ville fortifiée de…Lire la suiteLa fête de shuwalid
Au cœur de l’éthiopie, dans une région montagneuse, les onze églises monolithes médiévales de cette « nouvelle Jérusalem » du XIIIe siècle ont été creusées et taillées à même le roc près d’un village traditionnel aux maisons rondes. Lalibela est un haut lieu du christianisme éthiopien, lieu de pèlerinage et de dévotions.Lire la suiteÉglises creusées dans le roc de Lalibela
Harar Jugol, la ville historique fortifiée
La ville fortifiée de Harar est située dans la partie orientale du pays, sur un plateau encerclé par le désert et la savane et entaillé par de profondes gorges. Les murs ceignant cette ville sacrée musulmane ont été construits entre le XIIIe et XVIe siècles. Harar Jugol, connue comme la quatrième ville la plus sainte de l’islam, compte 82 mosquées,…Lire la suiteHarar Jugol, la ville historique fortifiée
Le festival de Maskel est célébré dans toute l’Ethiopie le 26 septembre pour commémorer l’exhumation de la Véritable Sainte-Croix du Christ. Les célébrations débutent par la construction du bûcher, appelé Damera, sur la place Maskel d’Addis-Abeba, un tas de pieux entouré de paquets de branches et de torches formant un cône, et décoré d’herbe fraîche et de marguerites d’Abyssinie qui…Lire la suiteLa fête de commémoration de la découverte de la Véritable Sainte-Croix du Christ
Festival coloré célébré dans l’ensemble du pays, l’Épiphanie éthiopienne commémore le baptême de Jésus-Christ dans le Jourdain par Jean le Baptiste. La commémoration débute chaque année le 18 janvier, veille de la fête principale. Cet évènement est appelé Ketera, ce qui signifie « bloquer le flot de l’eau » qui sert à bénir les participants. La veille du Ketera, les…Lire la suiteL’Épiphanie éthiopienne
Le Paysage culturel du pays konso est un site aride avec des terrasses en pierre et des fortifications, situé sur les hauts plateaux d’Ethiopie. Il constitue un exemple spectaculaire d’une tradition culturelle vivante remontant à vingt-et-une générations (plus de 400 ans) et adaptée à un environnement sec et hostile. Le paysage témoigne du partage des valeurs, de la cohésion sociale…Lire la suitePaysage culturel du pays konso
Sur quelque 160 sites archéologiques découverts jusqu’à présent dans la région du Soddo, au sud d’Addis-Abeba, celui de Tiya est l’un des plus importants. Il comprend 36 monuments, dont 32 stèles présentant une figuration sculptée faite d’épées et de symboles demeurés énigmatiques. Ces stèles témoignent d’une culture proto-historique d’Ethiopie que l’on n’a pas encore pu dater avec précision.Lire la suiteTiya
Une érosion massive au cours des ans a formé sur le plateau éthiopien un des paysages les plus spectaculaires du monde, avec des pics, des vallées, et des précipices atteignant jusqu’à 1 500 m de profondeur. Le parc est le refuge d’animaux extrêmement rares, comme le babouin gelada, le renard du Simien ou Walia ibex, sorte de chèvre qu’on ne…Lire la suiteParc national du Simien
Le bien protège une mosaïque paysagère à la beauté extraordinaire, façonnée par les forces conjuguées des écoulements de lave anciens, de la glaciation et de la dissection par la vallée du Grand Rift. Sa beauté naturelle exceptionnelle lui vient de ses pics et crêtes volcaniques, de ses escarpements spectaculaires, de ses vallées à perte de vue, de ses lacs glaciaires,…Lire la suiteParc national des monts Balé
Le Gada est un système traditionnel de gouvernance utilisé par les Oromo, parallèlement au système d’État. Il régit les activités politiques, économiques, sociales et religieuses de la communauté, et intervient dans la résolution des conflits, la réparation et la protection des droits des femmes. Il permet d’assurer une conduite morale, de renforcer la cohésion sociale et d’exprimer des formes de…Lire la suiteLe Gada, système socio-politique démocratique autochtone des Oromo
Le paysage culturel du pays gedeo
Ce bien s’étend le long de la marge orientale du sud de la vallée du Rift éthiopien, sur les contreforts escarpés des hauts plateaux éthiopiens. C’est une zone d’agroforesterie caractérisée par des cultures multi-étagées, avec de grands arbres abritant l’ensète indigène, la principale culture vivrière, sous laquelle poussent le café et d’autres arbustes. La zone est densément peuplée par les…Lire la suiteLe paysage culturel du pays gedeo
Le Fichee-Chambalaalla est une fête du Nouvel An célébrée par les Sidamas. D’après la tradition orale, le Fichee commémore l’histoire d’une femme sidama qui, après son mariage, rendait visite à sa famille et ses proches une fois par an. Elle apportait à ces occasions du »buurisame », un repas concocté à partir de fausses bananes, de beurre et de lait, et…Lire la suiteLe Fichee-Chambalaalla, festival du Nouvel an des Sidamas
Près du lac Turkana, la basse vallée de l’Omo est un site préhistorique de renommée mondiale, où ont été découverts de nombreux fossiles, notamment l’Homo gracilis, d’une importance essentielle pour l’étude de l’évolution humaine.Lire la suiteBasse vallée de l’Omo
La vallée de l’Aouache contient un des plus importants ensembles de gisements paléontologiques du continent africain. Les vestiges découverts sur le site, dont les plus anciens ont au moins 4 millions d’années, fournissent une preuve de l’évolution humaine qui a modifié notre perception de l’histoire de l’humanité. La découverte la plus spectaculaire a été faite en 1974, lorsque cinquante-deux fragments…Lire la suiteBasse vallée de l’Aouache
Près de la frontière nord de l’Ethiopie, les ruines de la ville ancienne d’Axoum marquent l’emplacement du cœur de l’Ethiopie antique, lorsque le royaume d’Axoum était l’État le plus puissant entre l’Empire romain d’Orient et la Perse. Les ruines massives, qui datent du Ier au XIIIe siècle, comprennent des obélisques monolithiques, des stèles géantes, des tombes royales et les ruines…Lire la suiteAxoum
Le 09 septembre 1999, les chefs d’État et de gouvernement de l’Organisation de l’Unité africaine (OUA) ont signé la Déclaration de Syrte qui appelait de tous ses vœux la création d’une Union africaine, envisageant l’accélération du processus d’intégration continentale qui permettra à l’Afrique de jouer le rôle légitime qui est le sien dans l’économie mondiale, tout en faisant face à…Lire la suiteCréation de l’Union africaine
En mai 1963, 32 Chefs des États africains qui avaient accédé à l’indépendance s’étaient rencontré à Addis Abeba, en Éthiopie à l’effet de signer la Charte portant création de la première institution continentale africaine formée au lendemain des indépendances, l’Organisation de l’Unité africaine (OUA). L’OUA était la manifestation de la vision pan-africaine d’une Afrique unie, libre et en pleine possession…Lire la suiteCréation de l’Organisation de l’Unité africaine
Langue sémitique parlée par les Tigrinyas d’Afrique de l’Est. [tir] / nom : ትግርኛLire la suitetigrigna (lg)
Langue afro-asiatique appartenant à la branche couchitique, parlée comme langue maternelle par les Somaliens de la Grande Somalie et de la diaspora somalienne. [som] / nom : Soomaaliga, af SoomaaliLire la suitesomali (lg)