On n’empêche pas de tomber le grand arbre de la forêt. On le laisse mourir pour laisser de la place aux jeunes pousses. Si on n’admet pas la fin de notre système, poursuit-il, c’est très difficile d’avancer et surtout, de nourrir un nouvel imaginaire positif pour le futur…
Par : Pablo Servigne
Source : lepoing.net