Rencontre avec des membres d’IKURU, coopérative de producteurs de cacahuètes et de noix de cajou, près de Nampula dans le Nord du pays. Des gens très très pauvres (30 à 500 Euros de revenus annuels). Je n’arrive pas à m’habituer au choc entre les deux mondes. Tant de décalage et d’injustice ! Des situations incroyablement difficiles pour des producteurs complètement isolés, sans débouchés, sans ressources. Le commerce se doit d’être un lien sinon le monde ne tourne pas rond…
Source : tristanlecomte.altereco.com
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