L’auteure de l’article, s’appuyant sur les travaux de deux chercheurs du MIT, en particulier l’analyse d’un million de journaux d’interaction ChatGPT, en retire diverses mises en lumière. Extraits… « L’analyse des journaux a révélé que la deuxième utilisation la plus populaire est le jeu de rôle sexuel. » Mais aussi qu’un niveau de langage « intime » aurait tendance à suggérer la formation de liens profonds avec les IA, pouvant créer une « dépendance émotionnelle ». « [L’IA générative] exerce le « charme collectif de toute l’histoire et de la culture humaine avec un mimétisme infini et séduisant » « Sans préférence, ni personnalité propre, elle reflète uniquement ce que les utilisateurs pensent d’elle. Un phénomène connu par les chercheurs sous le nom de « flagornerie », créant une chambre « d’écho d’affection »… » pouvant « à terme engendrer des formes « d’atrophie sociale et de troubles de l’attachement »… »
Par : Peggy Baron