A’Aru (le champ des roseaux) était l’au-delà égyptien, une vision idéalisée de la vie sur terre (également connu sous le nom de Sekhet-A’Aru et traduit par le champ des joncs). La mort n’était pas la fin de la vie mais une transition vers une autre partie du voyage éternel. Tout ce que l’on pensait avoir perdu à la mort était restitué, il n’y avait pas de douleur et, évidemment, pas de menace de mort, puisque l’on vivait en présence des dieux, en faisant ce que l’on avait fait sur terre, avec tous ceux que l’âme avait jamais aimés.
Par : Joshua J. Mark
Source : worldhistory.org | 2019
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