Les expressions festives et rituelles de la culture congo incarnent la vision contemporaine d’une célébration collective de descendants d’esclaves noirs de l’époque coloniale. De nos jours, les participants jouent du congo, célèbrent leur liberté, chantent gaiement à propos de leur vie quotidienne, et interprètent des spectacles et des danses pieds nus pour communiquer avec la terre. Pendant la saison congo…Lire la suiteLes expressions rituelles et festives de la culture congo
Auteur/autrice : Eric Cattelain
Depuis des siècles, le peuple kuna d’Armila, au Panama, vivent en harmonie avec leur environnement naturel et la faune locale, un lien qui s’exprime dans les traditions orales. Suite au déclin de la transmission de ces traditions orales et pour renforcer les pratiques artisanales, les expressions rituelles, les danses et la musique associées à la nature, les autorités locales et…Lire la suiteLe programme de pratiques de sauvegarde du PCI pour le Festival culturel et écologique des tortues marines d’Armila
L’utilisation d’une pierre calcaire locale a marqué la construction de la vieille ville d’Hébron/Al-Khalil au cours de la période mamelouke, entre 1250 et 1517. Le centre d’intérêt de la ville était le site de la mosquée Al-Ibrahim/le tombeau des Patriarches, dont les édifices se trouvent dans l’enceinte construite au ier siècle de notre ère pour protéger les tombes du patriarche…Lire la suiteVieille ville d’Hébron/Al-Khalil
Magnifiques exemples de l’architecture militaire des XVIIe et XVIIIe siècles, ces forts de la côte caraïbe du Panamá faisaient partie du système défensif mis en place par la Couronne d’Espagne pour protéger le grand commerce transatlantique.Lire la suiteFortifications de la côte caraïbe du Panama : Portobelo, San Lorenzo
Ce site est situé à quelques kilomètres au sud-ouest de Jérusalem, dans les hautes terres entre Naplouse et Hébron. Le paysage de collines de Battir comprend une série de vallées agricoles, widian, caractérisées par des terrasses de pierre, certaines irriguées pour la production maraîchère, d’autres sèches et plantées de vignes et d’oliviers. Le développement de ces terrasses cultivées, dans un…Lire la suitePalestine : terre des oliviers et des vignes – Paysage culturel du sud de Jérusalem, Battir
Le bien inscrit est situé à 10 km au sud de Jérusalem sur les sites que les Chrétiens reconnaissent traditionnellement, depuis le IIe siècle, comme le lieu de naissance de Jésus. Une église y a été construite en 339 et l’édifice qui lui a été substitué après un incendie survenu au VIe siècle conserve des vestiges du sol du bâtiment…Lire la suiteLieu de naissance de Jésus : l’église de la Nativité et la route de pèlerinage, Bethléem
La dabkeh, danse traditionnelle en Palestine
La dabkeh est une danse de groupe en Palestine qui s’accompagne d’instruments à vent traditionnels et de chants populaires. La dabkeh est interprétée par onze danseurs, indépendamment de leur genre et de leur âge, lors de festivals, de célébrations et d’événements tels que les mariages et les remises de diplômes. Les danseurs se tiennent en ligne droite ou en demi-cercle,…Lire la suiteLa dabkeh, danse traditionnelle en Palestine
La Hikaye palestinienne est une forme de récit narratif pratiquée par les femmes. Ces récits fictifs qui ont évolué au fil des siècles évoquent les préoccupations quotidiennes de la société du Moyen-Orient et les problèmes familiaux. Critique de la société du point de vue des femmes, la Hikaye dresse un tableau de la structure sociale touchant directement leur vie. Beaucoup…Lire la suiteLa Hikaye palestinienne
L’art de la broderie traditionnelle est largement diffusé en Palestine. Ces broderies étaient à l’origine fabriquées et portées dans les zones rurales. La pratique est désormais courante dans toute la Palestine et chez les membres de la diaspora. Les tenues des villageoises étaient généralement composées d’une longue tunique, d’un pantalon, d’une veste, d’une coiffe et d’un voile. Chacun de ces…Lire la suiteL’art de la broderie en Palestine, pratiques, compétences, connaissances et rituels
Ancien Jéricho/Tell es-Sultan
[arabe : Jéricho أريحا / Tell es-Sultan السلطان | hébreu : יְרִיחוֹ Jéricho]
Situé dans la vallée du Jourdain, le bien proposé pour inscription est un tell, ou monticule, de forme ovale, qui recèle les gisements préhistoriques d’activités humaines et comprend la source voisine pérenne d’Aïn es-Sultan. Un établissement permanent s’y forma entre le IXe et le VIIIe millénaire avant notre ère, mettant à profit la fertilité du sol de l’oasis et un…Lire la suiteAncien Jéricho/Tell es-Sultan
Du très ancien tumulus néolithique de Saraikala aux remparts de Sirkap, datant du IIe siècle av. J.-C., et à la ville de Sirsukh, du Ier siècle apr. J.-C., Taxila illustre les étapes du développement urbain d’une ville de l’Indus soumise tour à tour aux influences de la Perse, du monde hellénique et de l’Asie centrale, et qui, du VIe siècle…Lire la suiteTaxila
Ce site de 100 200 hectares compte 445 îlots calcaires inhabités. D’origine volcanique, les îlots ont souvent la forme de champignons entourés de lagons couleur turquoise et de récifs coralliens. La beauté du site est renforcée par un système complexe de récifs comptant 385 espèces de coraux et différents types d’habitat. Ces derniers hébergent une grande variété de plantes, d’oiseaux…Lire la suiteLagon sud des îles Chelbacheb
L’ensemble du monastère bouddhique de Takht-i-Bahi (ou « trône de la source ») a été fondé au début du Ier siècle. Grâce à son emplacement sur la crête d’une haute colline, il a échappé aux invasions successives, ce qui explique son état de préservation exceptionnel. Les ruines voisines de Sahr-i-Bahlol témoignent de la présence d’une petite ville fortifiée datant de…Lire la suiteRuines bouddhiques de Takht-i-Bahi et vestiges de Sahr-i-Bahlol
Ruines archéologiques de Mohenjo Daro
Ce site conserve les ruines d’une ville immense de la vallée de l’Indus, entièrement construite en brique crue et remontant au IIIe millénaire av. J.-C. Son acropole, élevée sur d’énormes remblais, ses remparts et la rigueur du plan de sa ville basse témoignent d’un urbanisme strictement planifié.Lire la suiteRuines archéologiques de Mohenjo Daro
Le Suri Jagek, dont la traduction littérale est « observation du soleil », est la pratique et le système des connaissances météorologiques et astronomiques traditionnelles des Kalash – utilisées essentiellement dans la chaine de montagnes de l’Hindou Kouch – basées sur l’observation du soleil, de la lune, des étoiles et des ombres par rapport à la topographie locale. Le système…Lire la suiteLe Suri Jagek (observation du soleil), pratique météorologique et astronomique traditionnelle fondée sur l’observation du soleil, de la lune et des étoiles par rapport à la topographie locale
Capitale de trois dynasties successives, puis possession des empereurs moghols de Delhi, Thatta n’a cessé d’être embellie du XIVe au XVIIIe siècle. Les vestiges de la ville et de sa nécropole offrent un témoignage unique sur la civilisation du Sind.Lire la suiteMonuments historiques à Makli, Thatta
Il s’agit de deux chefs-d’œuvre de la brillante civilisation moghole à son apogée, au temps de l’empereur Shah Jahan. Le fort de Lahore renferme des palais et mosquées de marbre, ornés de mosaïques et de dorures. à proximité de la ville, les merveilleux jardins de Shalimar étagés sur trois terrasses, avec des pavillons, des cascades et de vastes pièces d’eau,…Lire la suiteFort et jardins de Shalimar à Lahore
Après avoir vaincu l’empereur moghol Humayun en 1541, Sher Shah Suri a construit un ensemble d’ouvrages défensifs à Rohtas, site stratégique dans le nord de l’actuel Pakistan. Le fort de Rohtas n’a jamais été pris d’assaut et subsiste intact aujourd’hui. Les fortifications principales sont constituées de murs massifs qui s’étendent sur plus de 4 km ; elles comportent des bastions…Lire la suiteFort de Rohtas
Depuis plus de dix siècles, la tradition musicale du shashmaqom est cultivée dans les centres urbains de la région d’Asie centrale autrefois appelée Mâwarâ al-nahr qui correspond au Tadjikistan et à l’Ouzbékistan actuels. Le shashmaqom, littéralement « six maqams », est un mélange de musique vocale et instrumentale, de langages mélodiques et rythmiques et de poésie. Il est exécuté en…Lire la suiteLa musique Shashmaqom
Le corridor de Zeravchan-Karakoum est un des principaux tronçons des routes de la soie de l’Asie centrale, qui raccorde d’autres corridors venant de toutes les directions. Situé dans des montagnes escarpées, des vallées fluviales fertiles et des déserts inhabités, ce corridor de 866 kilomètres de long part de l’est vers l’ouest en longeant la rivière Zeravchan et continue vers le…Lire la suiteRoutes de la soie : corridor de Zeravchan-Karakoum