« Il n’y eut qu’une année qui parut normale à mes amis et à moi-même dans la maison de la Ponche : celle où Saint-Tropez nous appartint (bien entendu), celle où nous fûmes seuls à user et abuser de la mer, de son sable, de sa solitude et de sa beauté [1954]. » (Avec mon meilleur souvenir, 1984). [Puis très rapidement, succédant au…Lire la suiteLe soleil perçant et corrompu de la gloire…