Culture générale & métiers
Tisserand, informaticien, crieur de rue, comptable, scribe, falotier, rédactographe, forgeron, agriculteur, data scientist, attaché de presse… bienvenue dans la galaxie des métiers d’hier, d’aujourd’hui et de demain. « Métier ». Un mot qui nous vient de l’ancien français mestier, lui-même du latin ministerium (« service ») dont est aussi issu « ministère ». Oui, le métier : « au service de… ».
Service des siens, service d’une cause, service de la société, service de l’humanité… en quoi le métier que j’exerce ou exercerai, répond-il à cette architecture ouverte ou plus secrète qui détermine les équilibres individuels & collectifs ? Bien des termes gravitent aussitôt en ses environs qui y évoquent le « travail », le « labeur », « l’emploi », les « tâches », mais aussi « l’apprentissage », la « transmission », « l’engagement », la « responsabilité »…
À l’heure assez singulière où l’avènement de l’IA questionne peu ou prou ce qu’il adviendra de quantité de métiers, quelle est la place, quelle est la force du métier dans la marche du monde et la dynamique que nous souhaiterions y trouver ? En quoi le ou les métiers, qu’ils soient anciens, contemporains, futurs, nous parlent-ils de ce cheminement des humanités ? En quoi de nombreuses dimensions sociale, économique, juridique, mais aussi corporelle, intellectuelle, émotionnelle, y sont-elles déterminantes dans notre vie ?
Un beau défi pour l’Acte 13 en ce cinquième et dernier 21 mai du cycle.
Eric
À la lumière de l’établi, mai 2025
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