Après le début de la Seconde Guerre mondiale, la Wehrmacht a créé un camp pour les prisonniers de guerre belges et français dans des baraquements à la lisière de la zone d’entraînement militaire de Bergen. Le camp a été considérablement agrandi au printemps 1941. Après l’invasion allemande de l’Union soviétique, plus de 21 000 prisonniers de guerre soviétiques ont été…Lire la suiteLe camp de Bergen-Belsen
Auteur/autrice : Eric Cattelain
Aux États-Unis, la recherche militaire s’intéresse de près à un oiseau migrateur, le bruant à gorge blanche. Sa particularité : pouvoir voler plusieurs jours d’affilée sans dormir. Les scientifiques qui l’étudient rêvent de façonner, demain, des soldats insomniaques, mais aussi, après-demain, des travailleurs et des consommateurs sans sommeil. « Open 24/7 » – 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7…Lire la suiteLe capitalisme à l’assaut du sommeil
Le capitalisme est l’extraordinaire croyance que les hommes les plus méchants pour les motifs les plus méchants travailleront d’une manière ou d’une autre pour le bénéfice de tous.Lire la suiteLe capitalisme – Une croyance extraordinaire
Qu’est-ce qu’une société qui ne dort plus ? Des individus qui sont toujours en » mode veille » ? Jonathan Crary décrit dans ce livre la manière dont le capitalisme colonise peu à peu toute la vie, effaçant la distinction entre vie privée et vie publique, et même entre éveil et sommeil. À travers la standardisation, l’évolution technologique et la…Lire la suiteLe capitalisme à l’assaut du sommeil (2)
Au Burkina Faso, les ressources sont rares. Parmi elles, figure le bois. Un matériau surexploité, pour les besoins du bâtiment et surtout pour la cuisson des aliments. Conséquence : chaque année la surface boisée diminue et les terres s’appauvrissent, perdant leurs derniers remparts face à l’avancée du désert. Réduisant ainsi les richesses naturelles. Parallèlement, l’achat du bois, cher pour un…Lire la suiteLe bois au Burkina Faso
Les Tibétains nous disent que le bonheur n’est pas au bout du chemin, car il est le chemin … Et si à l’instar de ce chemin, le bonheur renvoyait aussi (surtout ?) à une certaine capacité à vivre l’instant présent et à apprécier tout ce qu’il nous apporte et que nous avons tendance à ne pas, à ne plus voir…Lire la suiteLe bonheur est le chemin…
Dans la Grèce ancienne, le bois sacré est une forme rustique, minimale du jardin : un site naturel sobrement aménagé, une prairie avec des fleurs sauvages, une source incertaine, un bosquet, parfois planté d’oliviers ou de vergers, autour d’un sanctuaire, d’un autel, ou près d’une grotte consacrée à une divinité, une nymphe, un héros, un esprit du lieu, le genius…Lire la suiteLe bosquet sacré
Le son serait celui du galop de cheval ou des battements du cœur. «Txalaparta, c’est l’écho d’un silence, silence rendu explicite : la solitude de la vallée soudain percée par le galop du cheval (zaldi) solitaire…Lire la suiteLe bruit d’un cheval au galop
Brahmacharya – Au sens étroit, le brahmacharya est la pratique du célibat ou de l’abstinence sexuelle. Dans un sens plus large, il s’agit de garder l’esprit toujours engagé dans des pensées de Brahma ou de la conscience suprême. Le mot brahmacharya se compose de deux mots : brahma et charya. Brahma signifie la conscience suprême. Et « charya » en sanskrit signifie…Lire la suiteLe brahmacharya dans le yoga
La langue est un outil commode pour générer le sens. Mais c’est étouffant si l’on ne travaille que la sémantique. C’est une tâche essentiellement cérébrale. Sortez donc du cerveau. Recourez au peps physique. Faites traverser votre corps, vos organes à vos mots. Chantez, théâtralisez. Avec le dynamisme vocal, avec le geste, vous pouvez remuer le sens. Si vous écrivez, ébranlez-le…Lire la suiteLangue – Minoru Sasaki
Depuis toute petite, je suis fascinée par cette danse des mains qui produit du sens. Cette voix du corps (mains, expressions du visage, mouvements du corps tout entier), cette chorégraphie de mots silencieux. J’ai la chance d’avoir rencontré des sourds qui sont devenus mes amis et qui me font découvrir leur langue et leur culture, d’une richesse inattendue. Parler avec…Lire la suiteLangue des signes – Patricia Grange
Un autre exemple inexplicable que je n’oublierai jamais, c’est lorsque, tout près de la cité, nous voyions une lanterne qui arpentait les sentiers, toute seule ! Tout le monde la voyait, nous sortions de nos maisons et on la voyait qui passait à 100 mètres de chez nous, alors que personne ne la tenait. C’est comme ça.Lire la suiteLanterne – Libère Tumba
Dans les années 30, lorsque la Constitution du Commonwealth a été rédigée, le tagalog était principalement parlé à Manille et dans les provinces environnantes. Cette constitution contenait des dispositions prévoyant une langue nationale officielle, mais elle ne désignait pas spécifiquement le tagalog comme cette langue. Lorsque la Constitution a été rédigée, le tagalog n’était parlé que par environ 25 %…Lire la suiteLangues tagalog et philippines
Le Blaudruck/Modrotisk/Kékfestés/Modrotlač, qui se traduit littéralement par « impression en bleu de réserve » ou « teinture en bleu de réserve », fait référence à la pratique qui consiste à appliquer une pâte résistante à la coloration sur un tissu avant de le surteindre avec un colorant indigo. La pâte résistante empêche la teinture de pénétrer le motif, lui permettant…Lire la suiteLe Blaudruck/Modrotisk/ Kékfestés/Modrotlač, impression de réserves à la planche et teinture à l’indigo en Europe
L’homme suit les voies de la terre, La Terre suit les voies du ciel; Le ciel suit les voies de la Voie; Et la Voie suit sa propre voie.Lire la suiteLa Voie suit ses propres voies
Les langues étaient différentes à la maison. Ma mère, je lui ai toujours parlé en une langue indienne, le bhojpuri…. (langue du Bihar). Avec mon père, je parlais le créole. Mes parents entre eux parlaient en bhojpuri. Avec ma sœur aînée, qui a une vingtaine d’années de plus que moi et qui était déjà mariée à ma naissance, je parle…Lire la suiteLangue – Indira Bucha
Du paysan, sache écouter la sagesse, car la voix de la terre chuchote à qui sait l’entendre parmi les plus beaux enseignements.Lire la suiteLa voix de la terre…
Nelson Mandela et le Mahatma Gandhi ont choisi la voie de la cohésion sociale comme unique moyen de réaliser une transformation politique en douceur pour garantir un système politique stable. Ils étaient tous deux conscients que la stabilité politique intérieure est un préalable au progrès socio-économique et qu’elle permet aux pays de jouer un rôle utile et stabilisateur dans les…Lire la suiteLa voie de la cohésion sociale
… Ma grand-mère exigeait qu’on parlât français à la maison et non basque. Parce que, disait-elle, basque vous parlerez toujours, dehors, pour vous amuser, entre vous, au village, mais … français c’est autre chose. Vous aurez besoin de parler français, vous devrez parler français. …Lire la suiteLangue – Jean Suhas
Au quotidien avoir une attitude non-violente, c’est s’exprimer sans empiéter sur le territoire de l’autre, ne pas attribuer d’étiquettes et écarter les préjugés, renouer la communication : la violence commence là où se termine le dialogue, écouter ce que l’autre veut réellement nous dire, au-delà des mots et des actes… Cela peut prendre de multiples formes tant qu’il y a…Lire la suiteLa violence commence là où se termine le dialogue…